Ils crèvent de faim ! Les propriétaires de chevaux se plaignent de n’avoir aucun revenu depuis cinq mois. Pour eux, la reprise de la saison hippique est un must.
Notons qu’être propriétaire d’un noble animal, cela coûte un max d’argent. Donc, un propriétaire de cheval n’est pas un crève-la-faim. Mais ils ont retour sur investissement avec les courses. Pas en raison des gains que leurs chevaux peut rapporter en cas de victoire, mais en pariant.
Sauf que la saison hippique ne démarre toujours pas, crise sanitaire oblige. Ce qui fait que les dépenses se poursuivent, mais pas de gains. Il y aurait environ 2 000 propriétaires de chevaux.
Rappelons que cette situation plombe les finances du Mauritius Turf Club, qui accumule un déficit d’environ Rs 5, 2 millions pour l’année financière écoulée. Pour tous ceux concernés, même une saison hippique à huis-clos est préférable. Seul hic, les dames ne pourront se pavaner avec leurs belles coiffures, leurs robes hors de prix et leurs chapeaux !
Notons qu’être propriétaire d’un noble animal, cela coûte un max d’argent. Donc, un propriétaire de cheval n’est pas un crève-la-faim. Mais ils ont retour sur investissement avec les courses. Pas en raison des gains que leurs chevaux peut rapporter en cas de victoire, mais en pariant.
Sauf que la saison hippique ne démarre toujours pas, crise sanitaire oblige. Ce qui fait que les dépenses se poursuivent, mais pas de gains. Il y aurait environ 2 000 propriétaires de chevaux.
Rappelons que cette situation plombe les finances du Mauritius Turf Club, qui accumule un déficit d’environ Rs 5, 2 millions pour l’année financière écoulée. Pour tous ceux concernés, même une saison hippique à huis-clos est préférable. Seul hic, les dames ne pourront se pavaner avec leurs belles coiffures, leurs robes hors de prix et leurs chapeaux !