Pourquoi rencontrer des proches meurtris lorsqu’on est ministre ? Voilà à quoi on peut résumer la pensée de Fazila Jeewa-Daureeawoo.
Venant de l’avouée, on aurait pu comprendre. Mais c’est en tant que ministre qu’elle a dit cela à l’Assemblée nationale ce matin, en réponse à la Private Notice Question du leader de l’opposition, axée sur la violence domestique.
Fazila Jeewa-Daureeawoo a insisté que son ministère a mis tout l’encadrement nécessaire, dont psychologique, aux proches des femmes tuées sous les coups de leurs conjoints. Elle a aussi précisé qu’elle est en communication constante avec son secrétaire permanent pour que ce dernier l’informe en permanence de l’avancée des dossiers. Mais trouver du temps pour aller, au moins, parler avec les enfants de ces victimes, cela n’était pas important pour la ministre de l’Égalité des genres. Surtout qu’elle a précisé que « cela ne résoudra pas le problème de violence domestique ».
Pour le résoudre, elle a indiqué, il fait que les « victimes viennent de l’avant et dénoncent leurs agresseurs ». Il faut aussi que les victimes arrêtent de demander l’arrêt des procédures une fois qu’elles sont enclenchées. Cela aussi elle l’a dit. Puis, elle a aussi réfléchi à voix haute pour indiquer qu’elle pense à l’utilisation du bracelet électronique aux auteurs de violence domestique. « Comme cela se fait à l’étranger », a-t-elle souligné.
Et Fazila Jeewa-Daureeawoo de préciser que le gouvernement « met tout en œuvre » pour s’attaquer à la violence domestique qui est cependant un « problème de société ».
Venant de l’avouée, on aurait pu comprendre. Mais c’est en tant que ministre qu’elle a dit cela à l’Assemblée nationale ce matin, en réponse à la Private Notice Question du leader de l’opposition, axée sur la violence domestique.
Fazila Jeewa-Daureeawoo a insisté que son ministère a mis tout l’encadrement nécessaire, dont psychologique, aux proches des femmes tuées sous les coups de leurs conjoints. Elle a aussi précisé qu’elle est en communication constante avec son secrétaire permanent pour que ce dernier l’informe en permanence de l’avancée des dossiers. Mais trouver du temps pour aller, au moins, parler avec les enfants de ces victimes, cela n’était pas important pour la ministre de l’Égalité des genres. Surtout qu’elle a précisé que « cela ne résoudra pas le problème de violence domestique ».
Pour le résoudre, elle a indiqué, il fait que les « victimes viennent de l’avant et dénoncent leurs agresseurs ». Il faut aussi que les victimes arrêtent de demander l’arrêt des procédures une fois qu’elles sont enclenchées. Cela aussi elle l’a dit. Puis, elle a aussi réfléchi à voix haute pour indiquer qu’elle pense à l’utilisation du bracelet électronique aux auteurs de violence domestique. « Comme cela se fait à l’étranger », a-t-elle souligné.
Et Fazila Jeewa-Daureeawoo de préciser que le gouvernement « met tout en œuvre » pour s’attaquer à la violence domestique qui est cependant un « problème de société ».