Paul Bérenger a évoqué son inquiétude au sujet de la situation de l’énergie. « Nous nous retrouvons dans une situation difficile », a-t-il déclaré en conférence de presse hier. Et d’ajouter que le pays est passé à plusieurs reprises à deux doigts de la catastrophe.
Mais actuellement, on se retrouve dans la zone de danger, selon lui. Terragen utilise de la bagasse actuellement pour fabriquer de l’énergie. Mais elle ne va pas en produire par la suite. Donc, pour Paul Bérenger, on perd 60 mégawatts de notre capacité de production, soit 570 mégawatts. Le problème, a-t-il ajouté, c’est qu’à Maurice, nous avons de vieux équipements qui ne peuvent être réparés car le pays ne peut se permettre qu’ils ne soient pas en utilisation. De ce fait, le CEB a procédé à un appel d’offres pour la production d’électricité à partir d’une barge flottante. « Elle va produire 50 mégawatts. Mais cela va nous coûter une fortune. Qui va payer ? Nous sommes sur la corde raide », a-t-il déclaré.
Mais actuellement, on se retrouve dans la zone de danger, selon lui. Terragen utilise de la bagasse actuellement pour fabriquer de l’énergie. Mais elle ne va pas en produire par la suite. Donc, pour Paul Bérenger, on perd 60 mégawatts de notre capacité de production, soit 570 mégawatts. Le problème, a-t-il ajouté, c’est qu’à Maurice, nous avons de vieux équipements qui ne peuvent être réparés car le pays ne peut se permettre qu’ils ne soient pas en utilisation. De ce fait, le CEB a procédé à un appel d’offres pour la production d’électricité à partir d’une barge flottante. « Elle va produire 50 mégawatts. Mais cela va nous coûter une fortune. Qui va payer ? Nous sommes sur la corde raide », a-t-il déclaré.
