Sur ce point, l’avocat de Bruneau Laurette a entièrement raison. L’affaire ayant trait à la contestation de sa libération sous caution a été appelée hier en cour suprême. Elle a été renvoyée au 11 septembre.
Le Commissaire de police a déposé un nouvel affidavit. Mais à leur sortie du bâtiment abritant la cour suprême, Neelkanth Dulloo et Bruneau Laurette ont parlé de tout… sauf de ce qui s’est passé en cour. « L’affaire n’a rien à voir avec la Bail Act », a déclaré l’avocat. Pour lui, le commissaire de police veut que la cour statue qu’il a tout pouvoir sur les procédures pénales dans les premiers stades.
« C’est comme s’il demandant qui est le chef entre le DPP et lui. C’est une bataille qui va durer. Il y a une main invisible qui tient une plume. La personne qui a eu l’idée de la Prosecution Commission n’a pas abandonné l’idée », a-t-il déclaré. Et Neelkanth Dulloo de souligner que ce qui se passe avec nos institutions sont des éventualités que ceux qui ont rédigé notre Constitution n’auraient jamais envisagé.
Le Commissaire de police a déposé un nouvel affidavit. Mais à leur sortie du bâtiment abritant la cour suprême, Neelkanth Dulloo et Bruneau Laurette ont parlé de tout… sauf de ce qui s’est passé en cour. « L’affaire n’a rien à voir avec la Bail Act », a déclaré l’avocat. Pour lui, le commissaire de police veut que la cour statue qu’il a tout pouvoir sur les procédures pénales dans les premiers stades.
« C’est comme s’il demandant qui est le chef entre le DPP et lui. C’est une bataille qui va durer. Il y a une main invisible qui tient une plume. La personne qui a eu l’idée de la Prosecution Commission n’a pas abandonné l’idée », a-t-il déclaré. Et Neelkanth Dulloo de souligner que ce qui se passe avec nos institutions sont des éventualités que ceux qui ont rédigé notre Constitution n’auraient jamais envisagé.