Cela ne va pas arranger les affaires du gouvernement, surtout en pleine période de controverse concernant la qualité de l’essence.
Du carburant contaminé, notamment 3 800 tonnes, a été débarqué à Maurice et a dû être réexpédié sur le navire-citerne. Il s’agit d’essence et de Jet A1 (carburant pour les avions) contaminés qui se sont retrouvés dans les cuves de trois compagnies pétrolières à Maurice.
Un exercice de (re)pompage a dû être effectué pour retourner les carburants en question dans les cuves du navire Analipsi Lady.
Le directeur général de la State Trading Corporation, Jonathan Ramasamy, a indiqué que les carburants contaminés n’ont pas été distribués aux stations-service.
C’est le 5 décembre que l’Analipsi Lady a accosté dans la rade de Port-Louis pour débarquer 3 800 tonnes de carburant. Apparemment, les tests effectués avant l’acheminement du produit n’avaient rien révélé d’anormal. C’est après le déchargement que des anomalies ont été constatées.
Rappelons que les cuves et tuyaux dans lesquels les carburants contaminés sont passés ont dû être nettoyés de fond en comble. Ce qui a causé pas mal de soucis aux compagnies pétrolières concernées, mais aussi la STC, pour qui cela représente un coût de Rs 50 millions.
L’Analipsi Lady a quitté Port-Louis le mardi 24 décembre.
Du carburant contaminé, notamment 3 800 tonnes, a été débarqué à Maurice et a dû être réexpédié sur le navire-citerne. Il s’agit d’essence et de Jet A1 (carburant pour les avions) contaminés qui se sont retrouvés dans les cuves de trois compagnies pétrolières à Maurice.
Un exercice de (re)pompage a dû être effectué pour retourner les carburants en question dans les cuves du navire Analipsi Lady.
Le directeur général de la State Trading Corporation, Jonathan Ramasamy, a indiqué que les carburants contaminés n’ont pas été distribués aux stations-service.
C’est le 5 décembre que l’Analipsi Lady a accosté dans la rade de Port-Louis pour débarquer 3 800 tonnes de carburant. Apparemment, les tests effectués avant l’acheminement du produit n’avaient rien révélé d’anormal. C’est après le déchargement que des anomalies ont été constatées.
Rappelons que les cuves et tuyaux dans lesquels les carburants contaminés sont passés ont dû être nettoyés de fond en comble. Ce qui a causé pas mal de soucis aux compagnies pétrolières concernées, mais aussi la STC, pour qui cela représente un coût de Rs 50 millions.
L’Analipsi Lady a quitté Port-Louis le mardi 24 décembre.
