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Société

Dosieah intègre le club très select dans l'enquête sur la centrale St Louis


Rédigé par E. Moris le Mardi 28 Septembre 2021



Il faut opérer à un très haut niveau pour entrer dans ce club de VVIP. C’est comme les boîtes de nuit hyperbranchées où il faut montrer patte blanche pour y accéder… ou alors être une star mondiale. 

Car dans ce groupe select, qui voit-on ? En premier lieu, Bertrand Lagesse, directeur d’AMB Lagesse Business & Engineering Consultancy Ltd.  Qu’on se rassure, Lagesse est en charmante compagnie. À ses côtés, l’on trouve Alain Hao Thyn Voon, l’un des directeurs de PAD Co, Shamshir Mukhoon, l’ancien directeur général par intérim du Central Electricity Board, le Pr Swaley Kasenally, ancien ministre de l’Énergie, l’ingénieur Amrithsingh Rajarai et désormais Krytykant Dosieah ! Tous sont accusés de s’être un peu trop amusés dans la boîte de nuit baptisée Centrale St Louis. 

Selon l’Icac, ils ont un peu trop forcé sur la dose, encouragés par les dirigeants de la firme BSWC. Ils avaient oublié que les Danois, descendants des vikings, étaient les maîtres du pillage. En plus, ils tiennent bien l’alcool. Ce n’est pas pour rien qu’est née l’expression « Quelque chose de pourri au royaume du Danemark » ! Pourquoi le Danemark sinon ? 

Maintenant, l’affaire St Louis représente un symbole pour le gouvernement. Mettre cette histoire au clair, c’est avoir l’occasion de salir Paul Bérenger. Pour ce faire, le gouvernement n’hésitera devant aucun sacrifice, même à emmener Ivan Collendavelloo sur l’autel. Il l’a fait d’ailleurs. En tout cas, des développements sont attendus dans l’histoire. Même si pour l’instant, lorsqu’on voit que des commissions de Rs 200 millions ont été versées pour l’octroi de contrat, on peut rigoler des Rs 500 000 et des billets d’avion qu’un des protagonistes est soupçonné d’avoir reçus !

Mardi 28 Septembre 2021

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