The Ocean Rebellion @oceanrebellion · Cause
Les manifestations se poursuivent à Londres pour mettre en évidence les dévastations causées par le déversement de pétrole du Wakashio sur les peuples et les écosystèmes à l'île Maurice.
Si à Maurice, les mouvements écologistes s'essoufflent, à l'international la diaspora mauricienne et les ONG pour la protection de la mer maintiennent la pression sur le gouvernement de Pravind Jugnauth et le Japon. Oubliez les Rs 381 millions de pub pour engraisser le club de foot de Liverpool, la capitale anglaise donne une leçon aux responsables de cette catastrophe écologique.
Une protestation contre l'inaction criminelle de l'Organisation maritime internationale (OMI) dans la protection des océans et du climat.
La troisième action de Ocean Rebellion a suivi des manifestations antérieures à l'extérieur de l'ambassade de Panama et des bureaux de l'Organisation maritime internationale des Nations Unies où se réunit le groupe de travail intersessions sur les émissions de gaz à effet de serre.
Le mouvement de protestation sur l'océan de Extinction Rebellion, est frustré par le manque de réponse du Japon à la crise environnementale et par ses liens étroits avec l'industrie des combustibles fossiles. Les manifestants sont également frustrés de l'incapacité du Japon à agir de manière responsable pour nettoyer le désastre de la marée noire du navire WAKASHIO à Maurice.
Une journée de sensibilisation auprès du grand public sur le fait que le Japon préside l'OMI, l'organe qui détient le pouvoir de réglementer les émissions mondiales des transports maritimes qui ont quadruplé au cours des quarante dernières années, et continuent de faire passer les intérêts économiques avant l'environnement.
Un porte-parole du groupe a déclaré: ′′ Nous ne disons plus jamais que les catastrophes telles que la catastrophe récente du pétrolier Wakashio à Maurice puissent se produire. Ce navire japonais possédé par le Japon et pavillon panaméen a renversé environ 1,000 tonnes de pétrole et a décimé tout un écosystème .′
Si à Maurice, les mouvements écologistes s'essoufflent, à l'international la diaspora mauricienne et les ONG pour la protection de la mer maintiennent la pression sur le gouvernement de Pravind Jugnauth et le Japon. Oubliez les Rs 381 millions de pub pour engraisser le club de foot de Liverpool, la capitale anglaise donne une leçon aux responsables de cette catastrophe écologique.
Une protestation contre l'inaction criminelle de l'Organisation maritime internationale (OMI) dans la protection des océans et du climat.
La troisième action de Ocean Rebellion a suivi des manifestations antérieures à l'extérieur de l'ambassade de Panama et des bureaux de l'Organisation maritime internationale des Nations Unies où se réunit le groupe de travail intersessions sur les émissions de gaz à effet de serre.
Le mouvement de protestation sur l'océan de Extinction Rebellion, est frustré par le manque de réponse du Japon à la crise environnementale et par ses liens étroits avec l'industrie des combustibles fossiles. Les manifestants sont également frustrés de l'incapacité du Japon à agir de manière responsable pour nettoyer le désastre de la marée noire du navire WAKASHIO à Maurice.
Une journée de sensibilisation auprès du grand public sur le fait que le Japon préside l'OMI, l'organe qui détient le pouvoir de réglementer les émissions mondiales des transports maritimes qui ont quadruplé au cours des quarante dernières années, et continuent de faire passer les intérêts économiques avant l'environnement.
Un porte-parole du groupe a déclaré: ′′ Nous ne disons plus jamais que les catastrophes telles que la catastrophe récente du pétrolier Wakashio à Maurice puissent se produire. Ce navire japonais possédé par le Japon et pavillon panaméen a renversé environ 1,000 tonnes de pétrole et a décimé tout un écosystème .′