Ce n’est pas le Pérou lorsqu’on prend en considération à quel point l’organisme est mal géré et à quel point la corruption est légion au sein de l’administration et de la direction.
On ne craint pas le court-circuit pour taper indirectement dans la caisse du Central Electricity Board. Alors, des fraudes de Rs 38,2 millions sur le réseau, qui plus est sur trois années financières, soit 2017-2018, 2018-2019 et 2019-2020, c’est du pipi de chat comme dirait l’autre. N’empêche que, contrairement aux « gros palto » du CEB, nous pensons qu’aucune fraude ne doit être tolérée. C’est bien que la Revenue Protection Unit du CEB soit parvenu à détecter ces cas de fraude, perpétrés par des individus et des hommes d’affaires.
On ne craint pas le court-circuit pour taper indirectement dans la caisse du Central Electricity Board. Alors, des fraudes de Rs 38,2 millions sur le réseau, qui plus est sur trois années financières, soit 2017-2018, 2018-2019 et 2019-2020, c’est du pipi de chat comme dirait l’autre. N’empêche que, contrairement aux « gros palto » du CEB, nous pensons qu’aucune fraude ne doit être tolérée. C’est bien que la Revenue Protection Unit du CEB soit parvenu à détecter ces cas de fraude, perpétrés par des individus et des hommes d’affaires.