C’est ce qu’on retient de l’entretien du leader du Mouvement Liberater à Radio Plus cet après-midi.
Et, avec son bagout habituel, lorsque la question lui a été posée, Ivan Collendavelloo a lancé : « Je ne vais pas vous dire d’aller lui demander vous-même ! Je vous réponds oui. J’ai le soutien du Premier ministre ! »
Ivan Collendavelloo a aussi indiqué qu’il n’hésitera pas à démissionner s’il s’avère qu’il y a eu pratiques de corruption concernant la centrale St Louis après 2015. Il a aussi déclaré qu’il ira déposer devant la Commission anticorruption si l’invitation lui est faite.
Sur le plan politique, Ivan Collendavelloo a déclaré qu’il y a « certaines personnes » qui auraient aimé lui ravir sa place. Et de demande : « Qui a tout fait pour rentrer au gouvernement depuis 2014 ? Qui a l’habitude de saboter des gouvernements ? » Il s’est aussi demandé ce que Navin Ramgoolam pouvait représenter sur l’échiquier politique.
Mais il faut aussi souligner que contrairement à ce qu’il a déclaré au Parlement, sur Radio Plus, Ivan Collendavelloo a été plus nuancé. À plusieurs reprises, il a déclaré qu’il spéculait sur la probabilité que les pratiques de corruption ont eu lieu en 2014 plutôt qu’en 2015. Au Parlement, il était plus catégorique.
Et, avec son bagout habituel, lorsque la question lui a été posée, Ivan Collendavelloo a lancé : « Je ne vais pas vous dire d’aller lui demander vous-même ! Je vous réponds oui. J’ai le soutien du Premier ministre ! »
Ivan Collendavelloo a aussi indiqué qu’il n’hésitera pas à démissionner s’il s’avère qu’il y a eu pratiques de corruption concernant la centrale St Louis après 2015. Il a aussi déclaré qu’il ira déposer devant la Commission anticorruption si l’invitation lui est faite.
Sur le plan politique, Ivan Collendavelloo a déclaré qu’il y a « certaines personnes » qui auraient aimé lui ravir sa place. Et de demande : « Qui a tout fait pour rentrer au gouvernement depuis 2014 ? Qui a l’habitude de saboter des gouvernements ? » Il s’est aussi demandé ce que Navin Ramgoolam pouvait représenter sur l’échiquier politique.
Mais il faut aussi souligner que contrairement à ce qu’il a déclaré au Parlement, sur Radio Plus, Ivan Collendavelloo a été plus nuancé. À plusieurs reprises, il a déclaré qu’il spéculait sur la probabilité que les pratiques de corruption ont eu lieu en 2014 plutôt qu’en 2015. Au Parlement, il était plus catégorique.