Ils font le procès des autorités. Et n’hésitent pas à lui attribuer tous les péchés d’Israël… et même de Palestine.
Sébastien Sauvage, de l’ONG Eco-Sud, joue les Nostradamus en prédisant que le pire reste à venir. Pour lui, il y a eu mauvaise gestion de la situation dès le départ. Néanmoins, la seule circonstance atténuante, c’est qu’il soutient que les autorités n'étaient pas préparées pour faire face à une telle éventualité. Mais résultat, dit-il, il s’agit d’un crime contre la vie marine.
Sébastien Sauvage demande maintenant que tout soit mis en œuvre pour que l’huile ou le carburant s’échappant du MV Wakashio, ne s’approche pas du parc marin de Blue-Bay ou celui de Mahébourg.
Yann von Arnim, biologiste marin, océanographe et membre de la Mauritius Marine Conservation Society, a la même préoccupation.
Pour lui, l’huile est en train de sortir de La Passe et, avec les courants, pourrait atteindre la ferme marine de Mahébourg. Là-bas, dit-il, il y a beaucoup de poissons !
Yann von Arnim rappelle que le seul avantage de la situation, c’est que le navire était vide. Ce qui fait que l’huile ou le carburant ne fait pas partie d’une quelconque cargaison. Bref, le navire ne contient pas de produits pétroliers en grosses quantités.
Aret Kokin Nou Laplaz, qui met rarement les formes, soutient que les autorités ont pris trop de temps pour récupérer le carburant qui se trouvait à bord du Wakashio. En tout cas, Carina Gounden, porte-parole du mouvement, soutient que cela aurait dû être fait depuis un moment déjà
Sébastien Sauvage, de l’ONG Eco-Sud, joue les Nostradamus en prédisant que le pire reste à venir. Pour lui, il y a eu mauvaise gestion de la situation dès le départ. Néanmoins, la seule circonstance atténuante, c’est qu’il soutient que les autorités n'étaient pas préparées pour faire face à une telle éventualité. Mais résultat, dit-il, il s’agit d’un crime contre la vie marine.
Sébastien Sauvage demande maintenant que tout soit mis en œuvre pour que l’huile ou le carburant s’échappant du MV Wakashio, ne s’approche pas du parc marin de Blue-Bay ou celui de Mahébourg.
Yann von Arnim, biologiste marin, océanographe et membre de la Mauritius Marine Conservation Society, a la même préoccupation.
Pour lui, l’huile est en train de sortir de La Passe et, avec les courants, pourrait atteindre la ferme marine de Mahébourg. Là-bas, dit-il, il y a beaucoup de poissons !
Yann von Arnim rappelle que le seul avantage de la situation, c’est que le navire était vide. Ce qui fait que l’huile ou le carburant ne fait pas partie d’une quelconque cargaison. Bref, le navire ne contient pas de produits pétroliers en grosses quantités.
Aret Kokin Nou Laplaz, qui met rarement les formes, soutient que les autorités ont pris trop de temps pour récupérer le carburant qui se trouvait à bord du Wakashio. En tout cas, Carina Gounden, porte-parole du mouvement, soutient que cela aurait dû être fait depuis un moment déjà
