C’est fort ! En tout cas, la facilité avec laquelle la mère et le beau-père du petit Ayaan ont pu récupérer le corps de l’hôpital et le fait que la doctoresse Nesha Soobhug a pu avoir accès à l’hôpital intriguent le ministère de la Santé. Ainsi, certains se demandent s’il y a un éventuel trafic de cadavres non-autopsiés.
Cette affaire montre une série de manquements
D’abord, le corps de l’enfant de 2 ans a quitté en douce la morgue de l’hôpital Nehru. De plus, un médecin du privé a pu se rendre dans un hôpital public et délivrer un acte de décès sans que personne ne s’aperçoive de rien. Surtout que du moment qu’un patient, vivant ou pas, se trouve sous la juridiction de l’hôpital, un médecin privé n’a pas le droit ne serait-ce que de l’approcher. Mais plus grave encore, un corps qui a été référé au médecin légiste pour une autopsie a pu quitter l’hôpital sans que quiconque s’en émeuve et sans que l’autopsie en question ne soit menée.
Force est de constater que l’hôpital, à Maurice, est une passoire où même les morts peuvent filer en douce ! Maintenant lorsqu’on ajoute la somme payée pour délivrer cet acte de décès, Rs 2 500, un montant exagéré, il est normal que les autorités veuillent s’intéresser à tous les documents de ce type émis par ladite doctoresse.
De plus, les liens possibles entre la doctoresse Soobhug et le caporal Emmamboccus sont passés au crible. Comment un policier a-t-il pu aider un couple à prendre un corps qui devait être autopsié ? Y a-t-il eu d’autres cas similaires dans le passé ? La question se pose.
Cette affaire montre une série de manquements
D’abord, le corps de l’enfant de 2 ans a quitté en douce la morgue de l’hôpital Nehru. De plus, un médecin du privé a pu se rendre dans un hôpital public et délivrer un acte de décès sans que personne ne s’aperçoive de rien. Surtout que du moment qu’un patient, vivant ou pas, se trouve sous la juridiction de l’hôpital, un médecin privé n’a pas le droit ne serait-ce que de l’approcher. Mais plus grave encore, un corps qui a été référé au médecin légiste pour une autopsie a pu quitter l’hôpital sans que quiconque s’en émeuve et sans que l’autopsie en question ne soit menée.
Force est de constater que l’hôpital, à Maurice, est une passoire où même les morts peuvent filer en douce ! Maintenant lorsqu’on ajoute la somme payée pour délivrer cet acte de décès, Rs 2 500, un montant exagéré, il est normal que les autorités veuillent s’intéresser à tous les documents de ce type émis par ladite doctoresse.
De plus, les liens possibles entre la doctoresse Soobhug et le caporal Emmamboccus sont passés au crible. Comment un policier a-t-il pu aider un couple à prendre un corps qui devait être autopsié ? Y a-t-il eu d’autres cas similaires dans le passé ? La question se pose.
