Ils ont été élu sur une base communale, pas vraiment pour leur talent. Mais au fil du temps, ils ont acquis un savoir-faire assez unique pour des novices en politique, avec une étiquette collée aux fesses : lèche-bottes. Contextualisé à Maurice dans le langage créole comme des "suceurs".
Ils veulent incarner le changement, la rupture, la jeunesse, la relève...Les aspirants politiciens veulent remplacer les "dinosaures". Pourtant, il suffit d'un changement de cap pour que les qualificatifs pleuvent :"Arriviste", "opportuniste", "vender"....pour ces hommes et femmes qui ont retourné leur veste aussi vite qu'un disque de l'année.
Pour citer Gérard Sanspeur "Kenny Dhunoo est représentatif de ces jeunes députés médiocres qui sont arrivés en politique par l’imposte et qui en l’absence d’une vie professionnelle bien remplie sont devenus trop tôt des « amateurs de la politique» à plein temps sans avoir au préalable fait carrière et excellé dans un domaine où la connaissance, la méthodologie et la précision sont de mise."
En effet, quel est le talent de Kenny Dhunoo ? Depuis son agression contre un infirmier indien à la clinique Welkin à Moka, chacun pensait que le député du Mouvement Socialiste Militant (MSM), Kenny Dhunoo aurait fait profil bas, c'était mal le connaître. Dans le cadre d'une mission dans la Grande péninsule, monsieur a été accusé d'agression sexuelle, sans qu'il n'y ait eu de suite.
Quand il ne sort pas des énormités « Nou Pm faire Covi bourre, pa bizin met mask », le Mister Bean de la politique locale, à chaque fois qu’il l’ouvre, cela se retourne contre lui. Il a sorti une autre ânerie, lors de l’inauguration d’un pont rénové à Curepipe, il avait déclaré que « Bobby Hurreeram est le ‘Baahubali’ de la construction ». ‘Baahubali’ est la référence à un film tamil de Bollywood. Kenny Dhunnoo devrait ménager sa langue. Car à force de faire de lèche, il va finir par user cet organe. Jusqu’ici, il n’y a pas de greffe de langue ou d’intervention pour la remplacer.
Les limiers du Net, ont déniché des petites pépites lorsque Kenny Dhunoo était membre du PMSD. Il avait déjà cette mauvaise habitude de faire les louanges avec un certain excès à ses maîtres. Ce qui fait dire que les transfuges sont très clairement une 'race' à part.
Ils veulent incarner le changement, la rupture, la jeunesse, la relève...Les aspirants politiciens veulent remplacer les "dinosaures". Pourtant, il suffit d'un changement de cap pour que les qualificatifs pleuvent :"Arriviste", "opportuniste", "vender"....pour ces hommes et femmes qui ont retourné leur veste aussi vite qu'un disque de l'année.
Pour citer Gérard Sanspeur "Kenny Dhunoo est représentatif de ces jeunes députés médiocres qui sont arrivés en politique par l’imposte et qui en l’absence d’une vie professionnelle bien remplie sont devenus trop tôt des « amateurs de la politique» à plein temps sans avoir au préalable fait carrière et excellé dans un domaine où la connaissance, la méthodologie et la précision sont de mise."
En effet, quel est le talent de Kenny Dhunoo ? Depuis son agression contre un infirmier indien à la clinique Welkin à Moka, chacun pensait que le député du Mouvement Socialiste Militant (MSM), Kenny Dhunoo aurait fait profil bas, c'était mal le connaître. Dans le cadre d'une mission dans la Grande péninsule, monsieur a été accusé d'agression sexuelle, sans qu'il n'y ait eu de suite.
Quand il ne sort pas des énormités « Nou Pm faire Covi bourre, pa bizin met mask », le Mister Bean de la politique locale, à chaque fois qu’il l’ouvre, cela se retourne contre lui. Il a sorti une autre ânerie, lors de l’inauguration d’un pont rénové à Curepipe, il avait déclaré que « Bobby Hurreeram est le ‘Baahubali’ de la construction ». ‘Baahubali’ est la référence à un film tamil de Bollywood. Kenny Dhunnoo devrait ménager sa langue. Car à force de faire de lèche, il va finir par user cet organe. Jusqu’ici, il n’y a pas de greffe de langue ou d’intervention pour la remplacer.
Les limiers du Net, ont déniché des petites pépites lorsque Kenny Dhunoo était membre du PMSD. Il avait déjà cette mauvaise habitude de faire les louanges avec un certain excès à ses maîtres. Ce qui fait dire que les transfuges sont très clairement une 'race' à part.