![[Billet] Jagai est tout le contraire de Midas](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/grande/73861311-51376023.jpg?v=1688442686 "[Billet] Jagai est tout le contraire de Midas")
![[Billet] Jagai est tout le contraire de Midas](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/default/73861311-51376023.jpg?v=1688442687 "[Billet] Jagai est tout le contraire de Midas")
Midas transformait tout ce qu’il touchait en or. Ashik Jagai fait le contraire. Tout l’or qu’il touche se transforme en cuivre ou en simple ferrailles. Il a réussi le tour de force de se faire dénoncé par un officier du bureau de poste affecté à l’aéroport.
Combien de chances avait un haut gradé de police d’être dénoncé par un officier de la poste ? Seul Jagai pouvait réussir cet exploit. L’employé a écrit à ses supérieurs pour dénoncer ce qui s’est passé avant l’opération ayant mené à l’arrestation des frères Akil et Avinash Bissessur ainsi que Doomila Moheeputh.
L’officier de la poste a dénoncé, auprès de ses supérieurs, la façon d’agir de la Special Striking Team, de la Brigade antidrogue et des hommes de la Customs Anti-Narcotics Section. Il soutient que le lundi 19 juin, soit la veille de l’opération posting, des officiers de l’ADSU et de la douane l’ont approché. Ils voulaient récupérer un colis en provenance d’Allemagne afin de le passer sous scanner. L’officier aurait refusé mais les policiers ont insisté.
Après le scan, c’est Ashik Jagai lui-même qui a débarqué. Il était accompagné de toute une équipe. Il a réclamé le colis. L’officier a refusé sous prétexte qu’il n’avait pas de mandat. Mais ses supérieurs lui ont donné l’ordre de s’exécuter. Ce qu’il a fait. Mais le plus intéressant, c’est que l’officier soutient que le colis contenait trois boîtes adressées à trois personnes différentes. L’une d’elles était Avinash Sesur, qui habiterait Avenue des Tulipes, Quatre Bornes. Est-ce qu’Avinash Sesur est Avinash Bissessur ? En tout cas, le travail des avocats des frères Bissessur et de Doomila Moheeputh est simplifiée. Ils n’ont qu’à appeler l’employé de la poste à la barre et tout le dossier de la poursuite tombe à l’eau pour vice de procédure.
Combien de chances avait un haut gradé de police d’être dénoncé par un officier de la poste ? Seul Jagai pouvait réussir cet exploit. L’employé a écrit à ses supérieurs pour dénoncer ce qui s’est passé avant l’opération ayant mené à l’arrestation des frères Akil et Avinash Bissessur ainsi que Doomila Moheeputh.
L’officier de la poste a dénoncé, auprès de ses supérieurs, la façon d’agir de la Special Striking Team, de la Brigade antidrogue et des hommes de la Customs Anti-Narcotics Section. Il soutient que le lundi 19 juin, soit la veille de l’opération posting, des officiers de l’ADSU et de la douane l’ont approché. Ils voulaient récupérer un colis en provenance d’Allemagne afin de le passer sous scanner. L’officier aurait refusé mais les policiers ont insisté.
Après le scan, c’est Ashik Jagai lui-même qui a débarqué. Il était accompagné de toute une équipe. Il a réclamé le colis. L’officier a refusé sous prétexte qu’il n’avait pas de mandat. Mais ses supérieurs lui ont donné l’ordre de s’exécuter. Ce qu’il a fait. Mais le plus intéressant, c’est que l’officier soutient que le colis contenait trois boîtes adressées à trois personnes différentes. L’une d’elles était Avinash Sesur, qui habiterait Avenue des Tulipes, Quatre Bornes. Est-ce qu’Avinash Sesur est Avinash Bissessur ? En tout cas, le travail des avocats des frères Bissessur et de Doomila Moheeputh est simplifiée. Ils n’ont qu’à appeler l’employé de la poste à la barre et tout le dossier de la poursuite tombe à l’eau pour vice de procédure.
