Il a exprimé son souhait… au père Noël. Ce matin en conférence de presse, le leader du MMM a demandé que l’année 2022 soit celle de la fin de la Covid-19, mais aussi l’année des législatives anticipées et de la fin du gouvernement MSM. Il a exprimé ce souhait après avoir déclaré que l’année 2021 a été très mauvaise pour le pays et surtout la démocratie à Maurice.
Paul Bérenger s’est aussi épanché sur l’affaire entourant l’achat de Molnupiravir. Il a déclaré dans un premier temps que Pravind Jugnauth a défendu le ministre Kailesh Jagutpal tout au long de l’année. Il a aussi indiqué qu’il n’a aucune confiance dans l’Icac. « C’est une cover-up et une white-washing machine », a-t-il déclaré.
Paul Bérenger a aussi évoqué l’appel aux élus de l’opposition de démissionner en bloc. Il a dit y être opposé pour trois raisons. D’abord, cela ne va pas amener le départ du gouvernement, ce que tous les élus souhaitent. Mais aussi l’absence de l’opposition dans l’hémicycle va profiter pleinement au gouvernement.
Paul Bérenger s’est aussi appesanti sur la troisième raison. Elle a trait à la Constitution du pays. Il affirme qu’elle stipule que le gouvernement peut, avec une majorité de trois-quarts, modifier la loi suprême du pays. « Mais elle ne précise pas trois-quarts de quoi ? Trois-quarts de 72 élus ou trois-quarts des députés qui siègent ? » C’est la question posée par Paul Bérenger. Pour lui, le gouvernement pourrait abolir le poste de directeur des poursuites publiques.
Paul Bérenger s’est aussi épanché sur l’affaire entourant l’achat de Molnupiravir. Il a déclaré dans un premier temps que Pravind Jugnauth a défendu le ministre Kailesh Jagutpal tout au long de l’année. Il a aussi indiqué qu’il n’a aucune confiance dans l’Icac. « C’est une cover-up et une white-washing machine », a-t-il déclaré.
Paul Bérenger a aussi évoqué l’appel aux élus de l’opposition de démissionner en bloc. Il a dit y être opposé pour trois raisons. D’abord, cela ne va pas amener le départ du gouvernement, ce que tous les élus souhaitent. Mais aussi l’absence de l’opposition dans l’hémicycle va profiter pleinement au gouvernement.
Paul Bérenger s’est aussi appesanti sur la troisième raison. Elle a trait à la Constitution du pays. Il affirme qu’elle stipule que le gouvernement peut, avec une majorité de trois-quarts, modifier la loi suprême du pays. « Mais elle ne précise pas trois-quarts de quoi ? Trois-quarts de 72 élus ou trois-quarts des députés qui siègent ? » C’est la question posée par Paul Bérenger. Pour lui, le gouvernement pourrait abolir le poste de directeur des poursuites publiques.