Bobby Hurreeram et Deepak Balgobin ont aussi dénoncé ce qu’ils ont qualifié de « mauvais cinéma » et de « guerre d’audience ». Ils faisaient référence au show de vendredi. « Pourquoi Radio Plus n’a pas diffusé l’entretien sur ses ondes. Pourquoi sur les réseaux sociaux ? On ne sait pas sur les ondes combien de personnes suivent un programme », a-t-il déclaré.
Deepak Balgobin aussi a, à plusieurs reprises, évoqué ce volet. « On a trouvé simplement une compétition, une guerre entre l’express et Radio Plus. C’est une série à la Toolsy… C’est une compétition entre Axcel Chenney et Nawaz Noorbux pour obtenir le plus grand nombre de vues. C’est du mauvais cinéma », a-t-il déclaré.
Pour lui, le document publié est un mémo interne de Girish Guddoy et non un rapport technique. « Il n’y a aucun élément technique dans cette affaire », a-t-il affirmé. Et Deepak Balgobin de se demander si Girish Guddoy a reçu des pressions de la part de ses proches. Pour lui, l’objectif de toute cette affaire est de trainer le Premier ministre dans la boue et de déstabiliser le gouvernement. « Si nous avions quelque chose à cacher, les caméras auraient été éteintes. De plus, ces images viennent montrer que le responsable du Counter Terrorism Unit était avec l’équipe technique à Baie-de-Jacotet », a-t-il déclaré. Il a aussi expliqué qu’avec le volume de données, intercepter le trafic internet avec de simples ordinateurs relève de l’impossible.
Deepak Balgobin aussi a, à plusieurs reprises, évoqué ce volet. « On a trouvé simplement une compétition, une guerre entre l’express et Radio Plus. C’est une série à la Toolsy… C’est une compétition entre Axcel Chenney et Nawaz Noorbux pour obtenir le plus grand nombre de vues. C’est du mauvais cinéma », a-t-il déclaré.
Pour lui, le document publié est un mémo interne de Girish Guddoy et non un rapport technique. « Il n’y a aucun élément technique dans cette affaire », a-t-il affirmé. Et Deepak Balgobin de se demander si Girish Guddoy a reçu des pressions de la part de ses proches. Pour lui, l’objectif de toute cette affaire est de trainer le Premier ministre dans la boue et de déstabiliser le gouvernement. « Si nous avions quelque chose à cacher, les caméras auraient été éteintes. De plus, ces images viennent montrer que le responsable du Counter Terrorism Unit était avec l’équipe technique à Baie-de-Jacotet », a-t-il déclaré. Il a aussi expliqué qu’avec le volume de données, intercepter le trafic internet avec de simples ordinateurs relève de l’impossible.