C’est cela un intellectuel. Il évoque des problèmes d’ordre national là où la plupart n’y ont vu qu’un inconvénient ou une affaire banale.
Dans une lettre adressée au Premier ministre, Jack Bizlall, de l’Observatoire de la démocratie, est revenu sur l’ordre émis le 27 janvier dernier suite à l’émission de l’avertissement de pluies torrentielles.
Rappelons que le National Crisis Committee avait ordonné aux membres du public de rester chez eux… sauf en cas d’urgence. L’ordre avait même été publié à l’Officiel. Sauf que, pour Jack Bizlall, il y a un problème de droit qui se pose. « On ne peut priver la population de ses droits », affirme-t-il dans la lettre. Tout contrevenant, rappelons-le, s’exposait à une amende ne dépassant pas Rs 100 000. Mais pour Jack Bizlall, il s’agissait d’un ordre « absurde » et rappelle que même lors d’un avertissement de cyclone de classe 4, un tel ordre n’a jamais été émis. Pour lui, il s’agit d’un cas de privation de liberté intolérable. Point de vue très intéressant ! Car d’un côté, il y a le devoir du gouvernement de protéger la population et de l’autre les droits intrinsèques de la population.
Dans une lettre adressée au Premier ministre, Jack Bizlall, de l’Observatoire de la démocratie, est revenu sur l’ordre émis le 27 janvier dernier suite à l’émission de l’avertissement de pluies torrentielles.
Rappelons que le National Crisis Committee avait ordonné aux membres du public de rester chez eux… sauf en cas d’urgence. L’ordre avait même été publié à l’Officiel. Sauf que, pour Jack Bizlall, il y a un problème de droit qui se pose. « On ne peut priver la population de ses droits », affirme-t-il dans la lettre. Tout contrevenant, rappelons-le, s’exposait à une amende ne dépassant pas Rs 100 000. Mais pour Jack Bizlall, il s’agissait d’un ordre « absurde » et rappelle que même lors d’un avertissement de cyclone de classe 4, un tel ordre n’a jamais été émis. Pour lui, il s’agit d’un cas de privation de liberté intolérable. Point de vue très intéressant ! Car d’un côté, il y a le devoir du gouvernement de protéger la population et de l’autre les droits intrinsèques de la population.
