Le leader du Reform Party était en congrès vendredi soir à Quatre-Bornes. Il s’est d’abord expliqué, une fois de plus, sur son appel aux élus de l’opposition à démissionner.
Il a ensuite expliqué qu’il respecte la décision des élus de l’opposition à l’envoyer paître. Dans toutes ces explications, il a sorti le rouleau compresseur contre Pravind Jugnauth, allant jusqu’à l’accuser de n’être « ni aimé ni craint », mais « pas respecté » non plus.
Mais Roshi Bhadain a lancé un appel à une opposition unie. Il affirme qu’il faut laisser les egos de côté. Voilà ce qu’il en coûte de parler trop. Roshi Bhadain, c’est comme du TNT pour les dirigeants de l’opposition. Le fait qu’il soit incontrôlable fait qu’ils essaient de le tenir aussi loin que possible, le laissant le rôle de crétin utile.
Il a ensuite expliqué qu’il respecte la décision des élus de l’opposition à l’envoyer paître. Dans toutes ces explications, il a sorti le rouleau compresseur contre Pravind Jugnauth, allant jusqu’à l’accuser de n’être « ni aimé ni craint », mais « pas respecté » non plus.
Mais Roshi Bhadain a lancé un appel à une opposition unie. Il affirme qu’il faut laisser les egos de côté. Voilà ce qu’il en coûte de parler trop. Roshi Bhadain, c’est comme du TNT pour les dirigeants de l’opposition. Le fait qu’il soit incontrôlable fait qu’ils essaient de le tenir aussi loin que possible, le laissant le rôle de crétin utile.