S’il avait voulu jeter un froid, l’ancien membre du Conseil d’administration d’Air Mauritius a réussi son coup. Bissoon Mungroo soutient qu’une grosse firme financière américaine souhaite racheter Air Mauritius.
Il va même plus loin : cette boîte va garder tous les jobs. Néanmoins, sa seule condition est que l’État mauricien ne soit plus le principal actionnaire de la compagnie. Le plus étonnant, c’est que la boîte américaine se soit tournée vers Bissoon Mungroo au lieu d’une offre officielle.
Bissoon Mungroo affirme qu’il dévoilera le nom de la compagnie plus tard, mais qu’entretemps, il attend les détails du potentiel acheteur avant d’en informer le Premier ministre et le secrétaire financier. L’État mauricien ne pourra disposer qu’entre 5 % et 8 % d’actions. Et concernant la décision de mise sous administration volontaire, Bissoon Mungroo est contre. Il soutient que le timing est mauvais. Il se demande aussi combien les administrateurs vont toucher.
Il va même plus loin : cette boîte va garder tous les jobs. Néanmoins, sa seule condition est que l’État mauricien ne soit plus le principal actionnaire de la compagnie. Le plus étonnant, c’est que la boîte américaine se soit tournée vers Bissoon Mungroo au lieu d’une offre officielle.
Bissoon Mungroo affirme qu’il dévoilera le nom de la compagnie plus tard, mais qu’entretemps, il attend les détails du potentiel acheteur avant d’en informer le Premier ministre et le secrétaire financier. L’État mauricien ne pourra disposer qu’entre 5 % et 8 % d’actions. Et concernant la décision de mise sous administration volontaire, Bissoon Mungroo est contre. Il soutient que le timing est mauvais. Il se demande aussi combien les administrateurs vont toucher.