Ils ne sont plus que trois officiers de police à être poursuivi dans le cadre du décès d’Iqbal Toofany, mort en détention.
Car, après le constable Johny Laboudeuse, mort de cause naturelle en janvier 2019, un second prévenu, le constable Vincent Gaiqui est décédé.
Le policier a été retrouvé mort à son domicile à La Gaulette. Il était suspendu de ses fonctions. Apparemment, une forte odeur d’alcool émanait de la pièce où le corps du policier se trouvait. Une autopsie sera pratiquée pour déterminer les circonstances exactes de son décès.
Ils étaient cinq policiers, au départ à être poursuivi dans le sillage du décès d’Iqbal Toofany, le 2 mars 2015. Ce dernier avait été arrêté lors d’un contrôle de routine. La voiture dans laquelle il se trouvait n’avait ni vignette d’assurance ni déclaration.
Iqbal Toofany avait été conduit en cellule policière. Mais il est mort le lendemain. Le rapport d’autopsie avait attribué son décès à un œdème pulmonaire découlant de coups reçus.
Car, après le constable Johny Laboudeuse, mort de cause naturelle en janvier 2019, un second prévenu, le constable Vincent Gaiqui est décédé.
Le policier a été retrouvé mort à son domicile à La Gaulette. Il était suspendu de ses fonctions. Apparemment, une forte odeur d’alcool émanait de la pièce où le corps du policier se trouvait. Une autopsie sera pratiquée pour déterminer les circonstances exactes de son décès.
Ils étaient cinq policiers, au départ à être poursuivi dans le sillage du décès d’Iqbal Toofany, le 2 mars 2015. Ce dernier avait été arrêté lors d’un contrôle de routine. La voiture dans laquelle il se trouvait n’avait ni vignette d’assurance ni déclaration.
Iqbal Toofany avait été conduit en cellule policière. Mais il est mort le lendemain. Le rapport d’autopsie avait attribué son décès à un œdème pulmonaire découlant de coups reçus.