Le milliardaire kenyan s’est défendu dans les médias, plus particulièrement Business Daily Africa. Il justifie sa décision d’acheter les actions de Britam détenus auparavant par l’ex-groupe BAI.
Certes, il n’a pas encore juré d’affidavit. Reste à savoir s’il va contester le rapport Domah devant la justice étant donné qu’il est déjà milliardaire et qu’il ne fait pas d’affaires à Maurice. Pourquoi dépenser de l’argent pour, officiellement, laver son honneur ?
En tout cas dans l’article du Business Daily, paru le vendredi 20 août 2021, il est indiqué que Munga « défend le deal Britam de 7,1 milliards de shillings kenyans ». Il a indiqué qu’il n’a jamais dit qu’il allait l’offre sud-africaine, que l’accord s’est effectué entre adultes consentants et qu’il n’y a donc pas de déficit de 3,9 milliards de shillings.
Il est aussi indiqué qu’à travers le cabinet d'avocats Richard Muhereza & Associates, il a adressé une lettre à l’Attorney General de Maurice dans laquelle il confirme qu’il n’a jamais accepté de payer Rs 4,3 milliards, soit 11 milliards de shillings, pour les actions de Britam.
Certes, il n’a pas encore juré d’affidavit. Reste à savoir s’il va contester le rapport Domah devant la justice étant donné qu’il est déjà milliardaire et qu’il ne fait pas d’affaires à Maurice. Pourquoi dépenser de l’argent pour, officiellement, laver son honneur ?
En tout cas dans l’article du Business Daily, paru le vendredi 20 août 2021, il est indiqué que Munga « défend le deal Britam de 7,1 milliards de shillings kenyans ». Il a indiqué qu’il n’a jamais dit qu’il allait l’offre sud-africaine, que l’accord s’est effectué entre adultes consentants et qu’il n’y a donc pas de déficit de 3,9 milliards de shillings.
Il est aussi indiqué qu’à travers le cabinet d'avocats Richard Muhereza & Associates, il a adressé une lettre à l’Attorney General de Maurice dans laquelle il confirme qu’il n’a jamais accepté de payer Rs 4,3 milliards, soit 11 milliards de shillings, pour les actions de Britam.
