On le croyait au fond de la poubelle politique. Mais le rapport de la commission d’enquête sur la vente des actifs de Britam a ramené Sudhir Seewungkur sur les devants de la scène.
Dans un média ce week-end, l’ancien ministre de la Bonne gouvernance a et des Services financiers a déploré le fait que le gouvernement exploite le rapport à des fins politiques.
Il soutient que le contenu du document a peu de valeur. Bref, que c’est du vent. Il affirme aussi, comme Roshi Bhadain d’ailleurs, que la somme de Rs 1,9 milliard n’a pas disparu. Elle n’a même jamais existé. Mais il soutient que c’est un manque à gagner si Maurice a obtenu une proposition de vendre les actions dans Britam (Kenya) pour Rs 4,3 milliards et n’a obtenu au final que Rs 2,4 milliards.
Dans un média ce week-end, l’ancien ministre de la Bonne gouvernance a et des Services financiers a déploré le fait que le gouvernement exploite le rapport à des fins politiques.
Il soutient que le contenu du document a peu de valeur. Bref, que c’est du vent. Il affirme aussi, comme Roshi Bhadain d’ailleurs, que la somme de Rs 1,9 milliard n’a pas disparu. Elle n’a même jamais existé. Mais il soutient que c’est un manque à gagner si Maurice a obtenu une proposition de vendre les actions dans Britam (Kenya) pour Rs 4,3 milliards et n’a obtenu au final que Rs 2,4 milliards.