C'est une mesure qui risque de faire beaucoup de bruits. Le commissaire de police, Anil Kumar Dip a sommé à ses hommes de faire enlever leur tatouage. «Les membres de la force policière qui ont des tatouages sur les parties visibles de leur corps ont deux mois pour les faire enlever. Sinon des mesures disciplinaires seront envisagées à leur encontre».
Si il y avait depuis une tolérance en fonction des chefs de service, selon toute vraisemblance, "des pressions hiérarchiques", ont eu raison de cette tendance mode. Si les tatouages potentiellement visibles, comme sur les avant-bras, étaient tolérés mais souvent masqués, ils sont désormais interdits.
Sous couvert d'anonymat, un membre de la force policière confie "Les policiers sont comme tout le monde. Ils veulent se faire plaisir et il n'y a pas de raisons qu'il ne le fasse pas. Certains l'assument, d'autres moins." Enlever un tatouage a un coût, pas certain que cela ne se fasse sans douleur.
Si il y avait depuis une tolérance en fonction des chefs de service, selon toute vraisemblance, "des pressions hiérarchiques", ont eu raison de cette tendance mode. Si les tatouages potentiellement visibles, comme sur les avant-bras, étaient tolérés mais souvent masqués, ils sont désormais interdits.
Sous couvert d'anonymat, un membre de la force policière confie "Les policiers sont comme tout le monde. Ils veulent se faire plaisir et il n'y a pas de raisons qu'il ne le fasse pas. Certains l'assument, d'autres moins." Enlever un tatouage a un coût, pas certain que cela ne se fasse sans douleur.