@ Oliver Prefumo
Alors que le ministre des Finances a annoncé lors du Budget une enveloppe de Rs 2,8 milliards dans la construction et le développement de routes, sur le terrain c'est une toute autre histoire.
Il n'a échappé à personne que l'ensemble du pays est en perpétuel travaux. On creuse des tranchées, on retourne les plates-bandes. Un trou par ici et un autre par là-bas. On casse pour recasser. C'est un concept typiquement mauricien. Sauf qu'à force d'user de la patience de tous, les nerfs craquent en voyant l'argent publique dilapidé.
A Quatre-Bornes, à la rue Coriolis, un chemin qui vient d'être colmaté, se retrouve avec un beau tuyau cassé au milieu de la route. C'est à se demander qui valide les appels d'offres pour les travaux. Des contrats certainement alloués sans véritable sérieux.
Il n'a échappé à personne que l'ensemble du pays est en perpétuel travaux. On creuse des tranchées, on retourne les plates-bandes. Un trou par ici et un autre par là-bas. On casse pour recasser. C'est un concept typiquement mauricien. Sauf qu'à force d'user de la patience de tous, les nerfs craquent en voyant l'argent publique dilapidé.
A Quatre-Bornes, à la rue Coriolis, un chemin qui vient d'être colmaté, se retrouve avec un beau tuyau cassé au milieu de la route. C'est à se demander qui valide les appels d'offres pour les travaux. Des contrats certainement alloués sans véritable sérieux.