Les travaux de la Court of Investigation visant à faire la lumière sur l’échouement du MV Wakashio se sont poursuivis jeudi.
Une séance marquée par l’audition du surintendant de police Aneerood Sookhareea, affecté au National Disaster Risk Reduction and Management Centre. Cette instance est, rappelons-le, chargée de gérer toutes les crises liées à des événements climatiques.
Une déposition très intéressante car le surintendant n’a pu répondre à un certain nombre de questions. L’ex-juge Hamuth, qui préside la cour d’investigation, s’est étonné à un certain moment que le National Disaster Risk Reduction and Management Centre ne soit pas en présence de certains rapports essentiels.
Autre élément étonnant : nombre d’instructions ont été données verbalement et beaucoup de discussions sont restées au stade verbal. Oublions le fait que le surintendant de police se soit trompé de date concernant une réunion. Il y a un aspect qui a visiblement choqué l’ex-juge Abdurafeek Hamuth. C’était lorsque le président a demandé si le comité national de crise était équipé pour une telle opération et si l’instance comprend des professionnels ayant une expertise en la matière. L’inspecteur a répliqué que le comité s’est basé sur un rapport soumis par la Salvage Team et le directeur du Shipping.
À quoi, l’ex-juge Hamuth a lancé : « Aviez-vous un moyen de vérifier si ce que disaient la Salvage Team et le Director of Shipping était correct ? ». Le surintendant Aneerood Sookhareea a répondu non. Et l’ex-juge Hamuth d’asséner : « Comment alors avez-vous pu venir dire en public qu’il y a risqué minims alors que vous n’avez pas fait d’enquête indépendante ? » Il faut aussi noter la déclaration de Johnny Lam Kai Leung, un des assesseurs. Il a lancé au surintendant Sookhareea que le National Disaster and Risk Management Centre est le comité qui doit prendre des décisions en cas de crise. « Est-ce que vous avez les mains liées ? » s’est-il demandé.
Une séance marquée par l’audition du surintendant de police Aneerood Sookhareea, affecté au National Disaster Risk Reduction and Management Centre. Cette instance est, rappelons-le, chargée de gérer toutes les crises liées à des événements climatiques.
Une déposition très intéressante car le surintendant n’a pu répondre à un certain nombre de questions. L’ex-juge Hamuth, qui préside la cour d’investigation, s’est étonné à un certain moment que le National Disaster Risk Reduction and Management Centre ne soit pas en présence de certains rapports essentiels.
Autre élément étonnant : nombre d’instructions ont été données verbalement et beaucoup de discussions sont restées au stade verbal. Oublions le fait que le surintendant de police se soit trompé de date concernant une réunion. Il y a un aspect qui a visiblement choqué l’ex-juge Abdurafeek Hamuth. C’était lorsque le président a demandé si le comité national de crise était équipé pour une telle opération et si l’instance comprend des professionnels ayant une expertise en la matière. L’inspecteur a répliqué que le comité s’est basé sur un rapport soumis par la Salvage Team et le directeur du Shipping.
À quoi, l’ex-juge Hamuth a lancé : « Aviez-vous un moyen de vérifier si ce que disaient la Salvage Team et le Director of Shipping était correct ? ». Le surintendant Aneerood Sookhareea a répondu non. Et l’ex-juge Hamuth d’asséner : « Comment alors avez-vous pu venir dire en public qu’il y a risqué minims alors que vous n’avez pas fait d’enquête indépendante ? » Il faut aussi noter la déclaration de Johnny Lam Kai Leung, un des assesseurs. Il a lancé au surintendant Sookhareea que le National Disaster and Risk Management Centre est le comité qui doit prendre des décisions en cas de crise. « Est-ce que vous avez les mains liées ? » s’est-il demandé.