Une telle légèreté mériterait des baffes ! La déposition devant la Court of Investigation de Sunil Kumar Nandeshwar n’a pas déçu.
Du moins ses propos. Il avait été blâmé par son numéro 2 qui avait déclaré que la décision de modifier la trajectoire avait pour but de permettre au capitaine de contacter son épouse. Mais Sunil Kumar Nandeshwar donne une toute autre version. Il affirme que c’est à la demande du Chief Officer, Hitinamillage Tilakaratna Subodha, mais aussi des autres membres d’équipage, qu’il a pris la décision de passer aussi près des côtes de Maurice le 25 juillet 2020. Et le capitaine d’enfoncer le clou : seule la carte sim du Chief Officer pouvait capter du réseau. Car il a expliqué qu’il n’y a pas d’internet sur le Wakashio et qu’il fallait garder le moral de l’équipage.
Le capitaine Sunil Kumar Nandeshwar a aussi évoqué des conditions climatiques à un moment pour justifier sa décision de modifier la trajectoire du vraquier. Il a aussi soutenu que ce n’est pas la première fois qu’il s’approche des côtes mauriciennes. La dernière fois, il était venu à près de 8 kilomètres et s’était fait choper par les gardes-côtes qui lui ont demandé d’expliquer, par radio, sa présence aussi près de l’île.
Du moins ses propos. Il avait été blâmé par son numéro 2 qui avait déclaré que la décision de modifier la trajectoire avait pour but de permettre au capitaine de contacter son épouse. Mais Sunil Kumar Nandeshwar donne une toute autre version. Il affirme que c’est à la demande du Chief Officer, Hitinamillage Tilakaratna Subodha, mais aussi des autres membres d’équipage, qu’il a pris la décision de passer aussi près des côtes de Maurice le 25 juillet 2020. Et le capitaine d’enfoncer le clou : seule la carte sim du Chief Officer pouvait capter du réseau. Car il a expliqué qu’il n’y a pas d’internet sur le Wakashio et qu’il fallait garder le moral de l’équipage.
Le capitaine Sunil Kumar Nandeshwar a aussi évoqué des conditions climatiques à un moment pour justifier sa décision de modifier la trajectoire du vraquier. Il a aussi soutenu que ce n’est pas la première fois qu’il s’approche des côtes mauriciennes. La dernière fois, il était venu à près de 8 kilomètres et s’était fait choper par les gardes-côtes qui lui ont demandé d’expliquer, par radio, sa présence aussi près de l’île.
