Ce qui l’intéresse le plus, c’est qu’on tire les leçons de ce qui s’est passé… mais aussi qu’on prenne des mesures correctives.
Le Dr Arvin Boolell, qui était leader de l’opposition à l’époque du naufrage du Wakashio, a déposé devant la Court of Investigation ce matin. Il a réclamé, tout comme Bruneau Laurette, que le Premier ministre, le ministre de la Pêche et le Commissaire de police soient entendus par l’instance.
Il a soutenu que ces personnes ont leur part de responsabilité dans ce qui s’est passé après le naufrage du vraquier sur les récifs de Pointe d’Esny. Le chef de file du PTr au Parlement ne s’explique pas que les autorités n’ont pas réagi durant les six jours suivant le naufrage.
« Il est clair que le gouvernement a failli devant ses responsabilités », a-t-il souligné. Arvin Boolell a soutenu qu’il aurait fallu intervenir et prendre possession du navire. Pour Arvin Boolell, il y a aussi eu un « laisser-aller » de la part de la National Coast Guard. Le député du no 18 soutient aussi que les réponses fournies au Parlement par le Premier ministre et les ministres Kavi Ramano et Sudheer Maudhoo ne sont pas claires.
Le Dr Arvin Boolell, qui était leader de l’opposition à l’époque du naufrage du Wakashio, a déposé devant la Court of Investigation ce matin. Il a réclamé, tout comme Bruneau Laurette, que le Premier ministre, le ministre de la Pêche et le Commissaire de police soient entendus par l’instance.
Il a soutenu que ces personnes ont leur part de responsabilité dans ce qui s’est passé après le naufrage du vraquier sur les récifs de Pointe d’Esny. Le chef de file du PTr au Parlement ne s’explique pas que les autorités n’ont pas réagi durant les six jours suivant le naufrage.
« Il est clair que le gouvernement a failli devant ses responsabilités », a-t-il souligné. Arvin Boolell a soutenu qu’il aurait fallu intervenir et prendre possession du navire. Pour Arvin Boolell, il y a aussi eu un « laisser-aller » de la part de la National Coast Guard. Le député du no 18 soutient aussi que les réponses fournies au Parlement par le Premier ministre et les ministres Kavi Ramano et Sudheer Maudhoo ne sont pas claires.
