C’est ce qui s’appelle une chance de cocu ! Barlen Vyapoory n'aurait jamais dû devenir vice-président de la République. Mais le candidat choisi en premier lieu avait un petit problème de curriculum vitae.
Du moins, selon sir Anerood Jugnauth. Comment mettre un attendant au poste de vice-président ? C’est ce que l’ancien Premier ministre avait dit pour justifier son refus de nommer Menon Murday. C’est dans ce contexte que Barlen Vyapoory, ancien conseiller de Steven Obeegadoo (2000 – 2005), a vu qu’il tenait le ticket gagnant du loto. Rappelé d’Afrique du Sud, où il avait été nommé ambassadeur, il a été nommé.
La suite, on la connaît. Il est vice-président. Après le départ en quatrième vitesse d’Ameenah Gurib-Fakim, il est président par intérim. Il le restera longtemps. Désormais, Barlen Vyapoory est considéré comme un ancien. Mieux, il a été nommé vice-président du Panel des anciens de la SADC. C’est l’une des deux instances créées pour promouvoir la stabilité politique et la sécurité dans la région par la prévention et la résolution de conflits interétatiques et intra-étatiques. Qui dit mieux ?
Du moins, selon sir Anerood Jugnauth. Comment mettre un attendant au poste de vice-président ? C’est ce que l’ancien Premier ministre avait dit pour justifier son refus de nommer Menon Murday. C’est dans ce contexte que Barlen Vyapoory, ancien conseiller de Steven Obeegadoo (2000 – 2005), a vu qu’il tenait le ticket gagnant du loto. Rappelé d’Afrique du Sud, où il avait été nommé ambassadeur, il a été nommé.
La suite, on la connaît. Il est vice-président. Après le départ en quatrième vitesse d’Ameenah Gurib-Fakim, il est président par intérim. Il le restera longtemps. Désormais, Barlen Vyapoory est considéré comme un ancien. Mieux, il a été nommé vice-président du Panel des anciens de la SADC. C’est l’une des deux instances créées pour promouvoir la stabilité politique et la sécurité dans la région par la prévention et la résolution de conflits interétatiques et intra-étatiques. Qui dit mieux ?