De pire en pire. C'est à se demander s'il ne faut pas prendre le parti d'en rire. Les scènes de vendredi devant les Casernes centrales, à Port-Louis, sont totalement burlesques.
8 membres de Linion Pep Morisien ont été arrêté manu militari par les zouaves en uniforme bleu, alors qu'ils n'avaient pas encore démarré leur manifestation pour réclamer la démission contre le commissaire de police dans l'affaire Laurette.
A l'île Maurice, des accusations de violence, viol, torture et stupéfiants éclaboussent la force policière
Ils ont été libérés et une motion est déposée pour rayer la charge provisoire concernant ce rassemblement illégal logée contre Raouf Khodabaccus, Jean Claude Barbier, Ivor Tan Yan, Niyamadkhan Jamalkhan, Neena Ramdenee, Kader Hossenbaccus, Christian Bernard et Zila Khodabux.
Mais c'est la façon de procéder de la police qui encore une fois interpelle. Le ridicule de la situation n'a échappé à personne. Pour que le rassemblement soit considéré comme illégal il faut plus dix personnes. C'est donc en comptant tout bonnement les membres de la presse présents que nos flics en délire ont arrondi le chiffre. Et comme pour ajouter à l'insulte, le compte n'est pas bon, "seuls" 8 personnes se trouvaient au poste de police, on vous laisse deviner pourquoi...
8 membres de Linion Pep Morisien ont été arrêté manu militari par les zouaves en uniforme bleu, alors qu'ils n'avaient pas encore démarré leur manifestation pour réclamer la démission contre le commissaire de police dans l'affaire Laurette.
A l'île Maurice, des accusations de violence, viol, torture et stupéfiants éclaboussent la force policière
Ils ont été libérés et une motion est déposée pour rayer la charge provisoire concernant ce rassemblement illégal logée contre Raouf Khodabaccus, Jean Claude Barbier, Ivor Tan Yan, Niyamadkhan Jamalkhan, Neena Ramdenee, Kader Hossenbaccus, Christian Bernard et Zila Khodabux.
Mais c'est la façon de procéder de la police qui encore une fois interpelle. Le ridicule de la situation n'a échappé à personne. Pour que le rassemblement soit considéré comme illégal il faut plus dix personnes. C'est donc en comptant tout bonnement les membres de la presse présents que nos flics en délire ont arrondi le chiffre. Et comme pour ajouter à l'insulte, le compte n'est pas bon, "seuls" 8 personnes se trouvaient au poste de police, on vous laisse deviner pourquoi...
