Trois employées de la Rose-Hill Transport (RHT) ont entamé une grève de la faim depuis hier, samedi 6 mars, à l’église Notre-Dame de Lourdes, à Rose-Hill.
Trois femmes ont démarré une grève de la faim depuis hier, samedi 6 mars à Rose-Hill pour dénoncer des cas d'harcèlement sexuel et d'attouchements de leurs supérieurs sur leur lieu de travail.
Les cas ont été rapporté à la direction, à la police et au ministère du Travail et aussi auprès de la ministre de la Femme, Kalpana Koonjoo Shah, sur le cas de harcèlement sexuel allégué.
Elles auraient reçu plusieurs avertissements avant que l'une d'entre ne soit licenciée. Gérard Manuel, responsable de communication de Rose-Hill Transport, explique que le licenciement de d'une des employée n’a rien à voir avec l’allégation de harcèlement sexuel, mais en raison de manquements sur le plan professionnel.
Ces trois employées, âgées de 43 ans, 25 ans et 46 ans, revendiquent de meilleures conditions de travail. Une situation qui rend leur combat plus légitime surtout à la veille de la Journée internationale de la Femme.
L’Union of Bus Industry Workers (UBIW) et le syndicaliste Ashok Subron considère cette affaire comme un « cover-up » au sein de cette compagnie privée et réclame une enquête du ministère du Travail.
Trois femmes ont démarré une grève de la faim depuis hier, samedi 6 mars à Rose-Hill pour dénoncer des cas d'harcèlement sexuel et d'attouchements de leurs supérieurs sur leur lieu de travail.
Les cas ont été rapporté à la direction, à la police et au ministère du Travail et aussi auprès de la ministre de la Femme, Kalpana Koonjoo Shah, sur le cas de harcèlement sexuel allégué.
Elles auraient reçu plusieurs avertissements avant que l'une d'entre ne soit licenciée. Gérard Manuel, responsable de communication de Rose-Hill Transport, explique que le licenciement de d'une des employée n’a rien à voir avec l’allégation de harcèlement sexuel, mais en raison de manquements sur le plan professionnel.
Ces trois employées, âgées de 43 ans, 25 ans et 46 ans, revendiquent de meilleures conditions de travail. Une situation qui rend leur combat plus légitime surtout à la veille de la Journée internationale de la Femme.
L’Union of Bus Industry Workers (UBIW) et le syndicaliste Ashok Subron considère cette affaire comme un « cover-up » au sein de cette compagnie privée et réclame une enquête du ministère du Travail.