A l'occasion de la journée mondiale des malades, le père Gérard Sullivan, curé de l’église Notre-Dame de Lourdes offre un témoignage bouleversant concernant sa maladie.
En septembre 2004 le père Sullivan apprend qu’il a un cancer à l’estomac. Cet événement de sa vie qu’il qualifie de « chance et bénédiction » a été accompagné d’incompréhensions et d’angoisse.
Un message fort et exceptionnel. La solidarité des malades et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues...tout comme il n'est pas nécessaire d'avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit
Le père Sullivan est un survivant, après avoir animé la deuxième messe de la veillée pascale à Rose-Hill en avril 2015, il est victime d'un hit-and-run. Il s’est fait reverser par un véhicule alors qu’il se rendait au centre de documentation religieuse, à quelques mètres de l’église, le conducteur prenant ensuite la fuite. Des travailleuses de nuit se trouvant dans les environs ont été les premières à lui venir en aide, suivis de quelques paroissiens qui quittaient l’église. Blessé à la jambe mais prenant son travail très à coeur, il avait continuer d'animer la messe quelques jours après son accident.
En septembre 2004 le père Sullivan apprend qu’il a un cancer à l’estomac. Cet événement de sa vie qu’il qualifie de « chance et bénédiction » a été accompagné d’incompréhensions et d’angoisse.
Un message fort et exceptionnel. La solidarité des malades et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues...tout comme il n'est pas nécessaire d'avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit
Le père Sullivan est un survivant, après avoir animé la deuxième messe de la veillée pascale à Rose-Hill en avril 2015, il est victime d'un hit-and-run. Il s’est fait reverser par un véhicule alors qu’il se rendait au centre de documentation religieuse, à quelques mètres de l’église, le conducteur prenant ensuite la fuite. Des travailleuses de nuit se trouvant dans les environs ont été les premières à lui venir en aide, suivis de quelques paroissiens qui quittaient l’église. Blessé à la jambe mais prenant son travail très à coeur, il avait continuer d'animer la messe quelques jours après son accident.