Le réalisateur grec Panos H. Koutras, a présenté au Festival de Cannes dans la section Cannes Première son film « Dodo ». D’où vient-il ? Que veut-il et surtout que faire de cet encombrant visiteur ? C’est ce que raconte cette comédie féroce, galerie de portraits peu flatteurs brossée avec humour.
« J’ai choisi le dodo car il a été exterminé par les humains en très peu de temps et qu’il symbolise l’inconséquence de notre espèce », explique le cinéaste. L'histoire emmène le public dans une luxueuse villa près d'Athènes, où un couple, au bord de la ruine financière, s'apprête à célébrer le mariage tant attendu de sa fille Sofia avec un riche héritier. C'est alors qu'apparaît un dodo, un oiseau disparu depuis 300 ans, qui entraîne tous les protagonistes dans une ronde folle, la situation devenant vite incontrôlable.
« J’ai choisi le dodo car il a été exterminé par les humains en très peu de temps et qu’il symbolise l’inconséquence de notre espèce », explique le cinéaste. L'histoire emmène le public dans une luxueuse villa près d'Athènes, où un couple, au bord de la ruine financière, s'apprête à célébrer le mariage tant attendu de sa fille Sofia avec un riche héritier. C'est alors qu'apparaît un dodo, un oiseau disparu depuis 300 ans, qui entraîne tous les protagonistes dans une ronde folle, la situation devenant vite incontrôlable.