
Ils sont excédés et inquiets. Les commerçant de La Louise à Quatre-Bornes subissent depuis l'arrivée du Metro express une baisse d'activité mais la goutte d'eau, ce sont les accumulations d'eau à la suite des intempéries des derniers 48 heures.
A bout de nerfs, ils déplorent une situation qui n'évolue pas à cause de l'inefficacité des canalisations. Les pertes se comptent par dizaine de milliers de roupies, «Chaque année, dès qu’il y a de très fortes pluies, un tourbillon d’eau arrive dans nos commerces», explique une commercante.
« En 30 minutes, une sorte de rivière s’est formée et a inondé mon commerce. Mes réserves sont à jeter», se désespère le propriétaire des lieux. Les nerfs lâchent. En plus des dégâts, il redoute que la perte d’exploitation ne soit pas prise en compte par l'assurance. Heureusement, la solidarité est de mise et les commerçants voisins sont venus l’aider à pomper l’eau, avant l’arrivée des sapeurs-pompiers.
Une première explication se trouve dans les facteurs suivants : une imperméabilisation importante des sols, un mauvais drainage des eaux pluviales, un territoire mal préparé et une population insuffisamment informée et formée. Les drains sont souvent bouchés ou insuffisamment dimensionnés, quand ils ne sont pas tout simplement absents. Les pluies sont importantes, mais c’est avant tout l’urbanisation et l’action de l’homme qui sont responsables de la situation.
A bout de nerfs, ils déplorent une situation qui n'évolue pas à cause de l'inefficacité des canalisations. Les pertes se comptent par dizaine de milliers de roupies, «Chaque année, dès qu’il y a de très fortes pluies, un tourbillon d’eau arrive dans nos commerces», explique une commercante.
« En 30 minutes, une sorte de rivière s’est formée et a inondé mon commerce. Mes réserves sont à jeter», se désespère le propriétaire des lieux. Les nerfs lâchent. En plus des dégâts, il redoute que la perte d’exploitation ne soit pas prise en compte par l'assurance. Heureusement, la solidarité est de mise et les commerçants voisins sont venus l’aider à pomper l’eau, avant l’arrivée des sapeurs-pompiers.
Une première explication se trouve dans les facteurs suivants : une imperméabilisation importante des sols, un mauvais drainage des eaux pluviales, un territoire mal préparé et une population insuffisamment informée et formée. Les drains sont souvent bouchés ou insuffisamment dimensionnés, quand ils ne sont pas tout simplement absents. Les pluies sont importantes, mais c’est avant tout l’urbanisation et l’action de l’homme qui sont responsables de la situation.