Il y a deux ans, le samedi 29 août, ce fut une explosion de colère dans les rues de la capitale. Des dizaines de milliers de Mauriciens ont exprimé leur ras-le-bol après la marée noire et les graves conséquences écologiques et économiques.
Les manifestants arborant des drapeaux mauriciens ont appelé le Premier ministre Pravind Jugnauth à la démission. Le peuple à scander son nom avec mépris et dégoût. Après 54 ans d’indépendance, la plus acclamée des démocraties africaines est toujours au bord de l’explosion. Les crises continuent de secouer le pays où le gouvernement en place et les élites politiques sont montrés du doigt. Abus de pouvoir, corruption et népotisme couronnent le palmarès du gouvernement et explique la colère des Mauriciens.
Lors du naufrage du Wakashio, rappelons que Pravind Jugnauth a estimé avec arrogance n'avoir commis aucune erreur et a refusé de présenter des excuses malgré les conséquences irréversibles sur l'environnement.
Les manifestants arborant des drapeaux mauriciens ont appelé le Premier ministre Pravind Jugnauth à la démission. Le peuple à scander son nom avec mépris et dégoût. Après 54 ans d’indépendance, la plus acclamée des démocraties africaines est toujours au bord de l’explosion. Les crises continuent de secouer le pays où le gouvernement en place et les élites politiques sont montrés du doigt. Abus de pouvoir, corruption et népotisme couronnent le palmarès du gouvernement et explique la colère des Mauriciens.
Lors du naufrage du Wakashio, rappelons que Pravind Jugnauth a estimé avec arrogance n'avoir commis aucune erreur et a refusé de présenter des excuses malgré les conséquences irréversibles sur l'environnement.