Où qu’ils soient, des témoins ont filmé à l’aide de leur téléphone portable les dégâts considérables provoqués par les deux puissantes explosions survenues à Beyrouth ce mardi 4 août.
Selon l’agence nationale d’information ANI, il y a eu « des morts et des blessés ». Le président de la Croix-Rouge libanaise, Georges Kettaneh, a lui évoqué « des centaines de blessés », dans un appel à la télévision libanaise LBC.
Aux abords du port, alors qu’un bateau est en feu, un soldat a indiqué à un journaliste de l’AFP :
« C’est une catastrophe à l’intérieur [du port]. Il y a des cadavres par terre. Des ambulances emmènent les corps »
Deuil national décrété
Dans une première réaction d’un responsable, le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a indiqué que les explosions étaient peut-être dues à des « matières explosives confisquées depuis des années », mais ajouté que l’enquête en cours devrait déterminer « la nature exacte de l’incident ».
Selon l’agence nationale d’information ANI, il y a eu « des morts et des blessés ». Le président de la Croix-Rouge libanaise, Georges Kettaneh, a lui évoqué « des centaines de blessés », dans un appel à la télévision libanaise LBC.
Aux abords du port, alors qu’un bateau est en feu, un soldat a indiqué à un journaliste de l’AFP :
« C’est une catastrophe à l’intérieur [du port]. Il y a des cadavres par terre. Des ambulances emmènent les corps »
Deuil national décrété
Dans une première réaction d’un responsable, le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a indiqué que les explosions étaient peut-être dues à des « matières explosives confisquées depuis des années », mais ajouté que l’enquête en cours devrait déterminer « la nature exacte de l’incident ».