Ce dimanche l'un des plus grands et vieux parti politique a fêté ses 87 ans d'existe lors d'un Congrès-anniversaire, sous le thème de : « ‘L’Innovation, la rupture et le renouvellement.»
Le contraste est saisissant avec celui des 40 ans du MSM. On est loin du folklore et des vuvuzelas à vous vriller un tympan. Loin de la vulgarité et de la grossièreté dont ont fait preuve les membres de la majorité gouvernementale et de leur leader Pravind Jugnauth.
La parole a été donnée aux jeunes du Parti travailliste ce dimanche. Puis les ténors ont abordé l'essence du parti et ses obligations depuis sa création envers la Nation mauricienne. Du chef de file des rouges, Arvin Boolell très en verve et du leader Navin Ramgoolam, le discours s'est voulut rassembleur.
De l'affaire Kistnen à la fraude électorale aux dernières législatives de 2019, ou encore de l'arrivée d'un contingent de 6 000 Bangladeshis sur le sol mauricien, à l’auditorium Octave Wiehé, à Réduit, Navin Ramgoolam a réaffirmé sa détermination pour une rencontre avec le commissaire électoral, Irfan Rahman. Concernant les démissionnaires du parti, là aussi, Ramgoolam a rappelé et mis en garde, qu'il n'y aura aucune possibilité de retour pour tous ceux qui abandonnent le navire rouge.
Ramgoolam s'est aussi engagé d'introduire une Freedom of Information Act, s'il revient au pouvoir. La « mafia » qui s'est installée dans les plus hautes sphères de l'Etat a aussi été abordé.
Le contraste est saisissant avec celui des 40 ans du MSM. On est loin du folklore et des vuvuzelas à vous vriller un tympan. Loin de la vulgarité et de la grossièreté dont ont fait preuve les membres de la majorité gouvernementale et de leur leader Pravind Jugnauth.
La parole a été donnée aux jeunes du Parti travailliste ce dimanche. Puis les ténors ont abordé l'essence du parti et ses obligations depuis sa création envers la Nation mauricienne. Du chef de file des rouges, Arvin Boolell très en verve et du leader Navin Ramgoolam, le discours s'est voulut rassembleur.
De l'affaire Kistnen à la fraude électorale aux dernières législatives de 2019, ou encore de l'arrivée d'un contingent de 6 000 Bangladeshis sur le sol mauricien, à l’auditorium Octave Wiehé, à Réduit, Navin Ramgoolam a réaffirmé sa détermination pour une rencontre avec le commissaire électoral, Irfan Rahman. Concernant les démissionnaires du parti, là aussi, Ramgoolam a rappelé et mis en garde, qu'il n'y aura aucune possibilité de retour pour tous ceux qui abandonnent le navire rouge.
Ramgoolam s'est aussi engagé d'introduire une Freedom of Information Act, s'il revient au pouvoir. La « mafia » qui s'est installée dans les plus hautes sphères de l'Etat a aussi été abordé.
