Pour Sik Yuen, le gouvernement avait promis un avenir meilleur, un miracle économique, mais le constat c'est un cauchemar. Faisant un constat global, il a affirmé que des entreprises ont cessé leur activité entraînant une hausse du taux de chômage, la roupie a perdu de sa valeur, la hausse du gaz ménager, du carburant, des transports, le prix des médicaments et la vie à Maurice est devenu très chère. Ceux au bas de l'échelle sont désespérés, la population a faim, en témoigne les récentes émeutes.
Les Mauriciens ne savent plus comment payer leurs factures. Selon lui, les Mauriciens ne sont pas dupes lorsque le gouvernement met en cause la pandémie ou encore la guerre en Ukraine. Michaël Sik Yuen évoquant la cherté des prix des légumes lors de son intervention dans le cadre des débats sur la motion de blâme de Xavier Luc Duval, a affirmé qu’il a payé trois chayottes à Rs 129 et une aubergine à Rs 129, Rs 143 pour quatre tomates, Rs 125 pour une courgette, Rs 128 pour quatre carottes, Rs 240 pour 340 grammes de piment curry. Son point, c'est qu'il a déboursé Rs 1000 pour quelques légumes du marché. Et d'un ton volontairement provoquant : « Est-ce que ces légumes sont cultivés en Ukraine ou à Maurice ? » Tout comme ses prédécesseurs, la crise au Sri Lanka était également sur toutes les lèvres.
Il est vrai que le gouvernement n'a pu lui donner la réplique, mais aurait pu argumenter que le pays a connu, comme tous ceux de la région, un début d'année cyclonique intense et des pluies torrentielles, qui n'ont pas favorisés une reprise de l'agriculture à son niveau optimal.
Les Mauriciens ne savent plus comment payer leurs factures. Selon lui, les Mauriciens ne sont pas dupes lorsque le gouvernement met en cause la pandémie ou encore la guerre en Ukraine. Michaël Sik Yuen évoquant la cherté des prix des légumes lors de son intervention dans le cadre des débats sur la motion de blâme de Xavier Luc Duval, a affirmé qu’il a payé trois chayottes à Rs 129 et une aubergine à Rs 129, Rs 143 pour quatre tomates, Rs 125 pour une courgette, Rs 128 pour quatre carottes, Rs 240 pour 340 grammes de piment curry. Son point, c'est qu'il a déboursé Rs 1000 pour quelques légumes du marché. Et d'un ton volontairement provoquant : « Est-ce que ces légumes sont cultivés en Ukraine ou à Maurice ? » Tout comme ses prédécesseurs, la crise au Sri Lanka était également sur toutes les lèvres.
Il est vrai que le gouvernement n'a pu lui donner la réplique, mais aurait pu argumenter que le pays a connu, comme tous ceux de la région, un début d'année cyclonique intense et des pluies torrentielles, qui n'ont pas favorisés une reprise de l'agriculture à son niveau optimal.