Hier, en cour de Bambous, Yatin Varma a déploré les attaques qu’il subit, tout comme son client d’ailleurs, dans les médias. Selon lui, ces attaques s’apparentent à des « tentatives d’intimidation ».
Certes, on peut comprendre qu’il met tout en œuvre pour défendre son client. C’est son droit. Il est payé, et très bien d’ailleurs, pour le faire. On peut aussi comprendre que, du point de vue de Me Yatin Varma, son client est aujourd’hui le démon personnifié. Sauf que ce n’est pas la presse, à quelques exceptions près, qui s’attaquent à Varma et à Franklin (quoi que dans le cas de ce dernier…) mais les politiques.
Difficile cependant de voir où voulait en venir Yatin Varma. N’importe quel crétin de première année de droit apprend que les magistrats et les juges, contrairement aux membres d’un jury, ne sont pas censés se laisser influencer par ce que dit la presse. C’est ce qui se dit au tribunal qui compte. Mais le plus étonnant dans l’histoire, c’est que le même Yatin Varma n’a pas hésité à utiliser les médias lorsque son autre client, Peter Uricek, comme par hasard un autre trafiquant présumé, avait été littéralement déporté manu militari. Il avait fait le tour des médias pour dénoncer la façon de faire des autorités. Un tantinet faux-cul le Yatin… Pas étonnant qu’il fasse aussi la girouette dans d’autres plans, comme la politique par hasard. Cela, même si, nous le précisons, dans le cas de Franklin et pas le sien, des fois tout le monde semble oublier la présomption d’innocence. Ce concept s’applique et doit s’appliquer… même pour Franklin.
Certes, on peut comprendre qu’il met tout en œuvre pour défendre son client. C’est son droit. Il est payé, et très bien d’ailleurs, pour le faire. On peut aussi comprendre que, du point de vue de Me Yatin Varma, son client est aujourd’hui le démon personnifié. Sauf que ce n’est pas la presse, à quelques exceptions près, qui s’attaquent à Varma et à Franklin (quoi que dans le cas de ce dernier…) mais les politiques.
Difficile cependant de voir où voulait en venir Yatin Varma. N’importe quel crétin de première année de droit apprend que les magistrats et les juges, contrairement aux membres d’un jury, ne sont pas censés se laisser influencer par ce que dit la presse. C’est ce qui se dit au tribunal qui compte. Mais le plus étonnant dans l’histoire, c’est que le même Yatin Varma n’a pas hésité à utiliser les médias lorsque son autre client, Peter Uricek, comme par hasard un autre trafiquant présumé, avait été littéralement déporté manu militari. Il avait fait le tour des médias pour dénoncer la façon de faire des autorités. Un tantinet faux-cul le Yatin… Pas étonnant qu’il fasse aussi la girouette dans d’autres plans, comme la politique par hasard. Cela, même si, nous le précisons, dans le cas de Franklin et pas le sien, des fois tout le monde semble oublier la présomption d’innocence. Ce concept s’applique et doit s’appliquer… même pour Franklin.
