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Un phénomène qui inquiète. Le bond spectaculaire du nombre de suicides constaté interroge la société mauricienne sur la rupture économique et sociale provoquée par la pandémie de Covid-19, mais aussi sur l’influence de l'isolement.
La police a enregistré trois cas de suicide le jeudi le 21 janvier. Deux hommes et une femme se sont donnés la mort par pendaison.
Une femme de 81 ans a mis fin à ses jours à l’aide d’une corde attachée à une bar en métal dans son garage. Un jeune homme âgé de 20 ans a été retrouvé dans la même configuration par sa soeur et dans l’autre cas, il s’agit d’un homme de 41 ans qui s'est donné la mort sur son lieu de travail dans une raffinerie de l'île.
Durant ces dernières années, des morts silencieuses dans la solitude étaient enregistrées, s'accentuant de plus en plus lorsqu'on vieillit.
Il s’agit, pour la plupart, de personnes marginales, sans amis ou famille, avec quasiment pas d’argent et peu de ressources, trop fières pour afficher leur détresse. Cela signifie qu'elles ne voient plus leurs familles, leurs amis et qu'elles ne parlent pas, non plus, à leurs voisins.
Un nouveau constat s'impose dans la société mauricienne, malheureusement très sous-estimé. On a occulté l'impact sociale et économique dans le foyer de nombreuses familles qui n'ont plus d'emplois et de revenus. D'où l'importance urgente de former, d'informer, de déculpabiliser, d’expliquer les réseaux, pour savoir quoi faire et à quel moment.
La police a enregistré trois cas de suicide le jeudi le 21 janvier. Deux hommes et une femme se sont donnés la mort par pendaison.
Une femme de 81 ans a mis fin à ses jours à l’aide d’une corde attachée à une bar en métal dans son garage. Un jeune homme âgé de 20 ans a été retrouvé dans la même configuration par sa soeur et dans l’autre cas, il s’agit d’un homme de 41 ans qui s'est donné la mort sur son lieu de travail dans une raffinerie de l'île.
Durant ces dernières années, des morts silencieuses dans la solitude étaient enregistrées, s'accentuant de plus en plus lorsqu'on vieillit.
Il s’agit, pour la plupart, de personnes marginales, sans amis ou famille, avec quasiment pas d’argent et peu de ressources, trop fières pour afficher leur détresse. Cela signifie qu'elles ne voient plus leurs familles, leurs amis et qu'elles ne parlent pas, non plus, à leurs voisins.
Un nouveau constat s'impose dans la société mauricienne, malheureusement très sous-estimé. On a occulté l'impact sociale et économique dans le foyer de nombreuses familles qui n'ont plus d'emplois et de revenus. D'où l'importance urgente de former, d'informer, de déculpabiliser, d’expliquer les réseaux, pour savoir quoi faire et à quel moment.
