C’est toujours la femme qui paie la triple peine. D’abord, c’est elle qui tombe enceinte. Ensuite, c’est elle qui doit risquer sa vie avec un avortement clandestin et, en cas de complications, elle peut mourir ou alors, si elle se rend à l’hôpital, elle doit répondre aux policiers.
C’est le cas d’une Bangladeshie de 29 ans. Difficile de dire si elle n’est pas mariée ou si elle a quitté mari et gosses au pays pour venir travailler. En tout cas, elle a batifolé à Maurice. Le problème, c’est qu’elle est tombée enceinte. Selon son contrat, elle ne peut avoir d’enfant au pays. Ou alors, elle sera déportée. De ce fait, elle a voulu se débarrasser du fœtus. Mais souffrante, elle a dû se rendre à l’hôpital pour des soins. Et là, elle est soupçonnée d’avoir mis fin volontairement à sa grossesse. La police a ouvert une enquête.
C’est le cas d’une Bangladeshie de 29 ans. Difficile de dire si elle n’est pas mariée ou si elle a quitté mari et gosses au pays pour venir travailler. En tout cas, elle a batifolé à Maurice. Le problème, c’est qu’elle est tombée enceinte. Selon son contrat, elle ne peut avoir d’enfant au pays. Ou alors, elle sera déportée. De ce fait, elle a voulu se débarrasser du fœtus. Mais souffrante, elle a dû se rendre à l’hôpital pour des soins. Et là, elle est soupçonnée d’avoir mis fin volontairement à sa grossesse. La police a ouvert une enquête.