Depuis juin 2020, Rajen Bablee, directeur exécutif de Transparency Mauritius affirme qu'il faut s’inscrire dans la mouvance internationale. En effet, plusieurs pays du monde sont en train de voter des lois sur les lanceurs d’alerte. Maurice doit en faire de même, avait-t-il ajouté.
Pour Transparency Mauritius, le ‘whistleblowing’ est un des outils les plus efficaces dans la lutte contre la corruption. Car ce sont les personnes qui travaillent dans une entreprise ou une organisation qui seront les premières à découvrir des pratiques illégales. Si ces personnes acceptent de donner l’alerte, il faut leur accorder une certaine protection. Rajen Bablee souligne que Transparency Mauritius a travaillé sur une ébauche d’une loi pour la protection des lanceurs d’alertes et souhaitait soumettre au gouvernement dès que possible.
Chose faite. L’organisme a remis le document au Premier ministre mais aussi au Président de la République, l’Attorney General et le ministre de la Bonne Gouvernance et des Services Financiers.
Pour rappel, le projet s'intitule : ‘Whistleblowers’ Protection. Notons par ailleurs, que Maurice est signataire de la Convention des Nations Unies contre la Corruption, qui est une émanation de l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime. L’article 33 stipule, que les pays ayant ratifié cette Convention doivent assurer la protection des personnes (lanceuses d’alertes) et d’incorporer dans son système juridique interne des mesures appropriées, pour assurer la protection contre tout traitement injustifié, de toute personne qui signale aux autorités concernées, de bonne foi et sur la base de soupçons raisonnables ».
Pour Transparency Mauritius, le ‘whistleblowing’ est un des outils les plus efficaces dans la lutte contre la corruption. Car ce sont les personnes qui travaillent dans une entreprise ou une organisation qui seront les premières à découvrir des pratiques illégales. Si ces personnes acceptent de donner l’alerte, il faut leur accorder une certaine protection. Rajen Bablee souligne que Transparency Mauritius a travaillé sur une ébauche d’une loi pour la protection des lanceurs d’alertes et souhaitait soumettre au gouvernement dès que possible.
Chose faite. L’organisme a remis le document au Premier ministre mais aussi au Président de la République, l’Attorney General et le ministre de la Bonne Gouvernance et des Services Financiers.
Pour rappel, le projet s'intitule : ‘Whistleblowers’ Protection. Notons par ailleurs, que Maurice est signataire de la Convention des Nations Unies contre la Corruption, qui est une émanation de l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime. L’article 33 stipule, que les pays ayant ratifié cette Convention doivent assurer la protection des personnes (lanceuses d’alertes) et d’incorporer dans son système juridique interne des mesures appropriées, pour assurer la protection contre tout traitement injustifié, de toute personne qui signale aux autorités concernées, de bonne foi et sur la base de soupçons raisonnables ».