Pendant ce temps, Sandra Mayotte fait sa communication sur une radio proche du gouvernement. Elle se défend aussi !
Invitée à expliquer les appels pour qu’elle commente le cas Jasmine Toulouse, en tant qu’artiste, elle a déclaré que les gens ne lui reconnaissent le statut d’artiste que lorsque cela les arrange. « On ne reconnaît pas mon statut. On m’appelle Kayambo. On veut me dénigrer. Mais j’adore mes origines. Je suis fière de cette chanson », a-t-elle déclaré. Elle affirme que ses adversaires politiques lui ont renié ce statut et maintenant, suite au cas Jasmine Toulouse, ils veulent qu’elle « réagisse en tant qu’artiste ».
Elle n’a pas tort Sandra sur ce point ! Mais au final, elle n’a pas dit un mot de soutien à Jasmine Toulouse. On pouvait s’y attendre ! Mais en fait, elle n’a pas dit un mot non plus sur l’affaire Toulouse.
Sandra Mayotte a cependant été surprise par une question du journaliste. « Est-ce que Pravind Jugnauth est communal ? » Elle a tiqué. Car elle ne s’y attendait pas de la part du journaliste qui, visiblement, n’a pas écrit la question qui avait d’ailleurs pour but de défendre le chef du gouvernement. « Je suis mal à l’aise avec cette question. Vous pensez qu’il l’est ? Avez-vous des raisons de penser cela ? » a répliqué Sandra Mayotte. « Non, non, pas du tout », s’est presque excusé le journaliste. Ce qui a permis à Sandra Mayotte de réfléchir à une réponse. « Non, Pravind Jugnauth n’est pas communal. La preuve, c’est moi ! »
Pour ce qui est des autres sujets, Sandra Mayotte a déclaré qu’en entrant dans l’arène politique, elle a l’impression d’avoir été extirpée d’un monde de strass et paillette pour être jetée dans une nouvelle université. Mais pour elle, le plus important, c’est qu’elle aime les gens. « Je hug souvent les gens. Je peux m’asseoir avec les gens sur la plage », a-t-elle déclaré.
Invitée à expliquer les appels pour qu’elle commente le cas Jasmine Toulouse, en tant qu’artiste, elle a déclaré que les gens ne lui reconnaissent le statut d’artiste que lorsque cela les arrange. « On ne reconnaît pas mon statut. On m’appelle Kayambo. On veut me dénigrer. Mais j’adore mes origines. Je suis fière de cette chanson », a-t-elle déclaré. Elle affirme que ses adversaires politiques lui ont renié ce statut et maintenant, suite au cas Jasmine Toulouse, ils veulent qu’elle « réagisse en tant qu’artiste ».
Elle n’a pas tort Sandra sur ce point ! Mais au final, elle n’a pas dit un mot de soutien à Jasmine Toulouse. On pouvait s’y attendre ! Mais en fait, elle n’a pas dit un mot non plus sur l’affaire Toulouse.
Sandra Mayotte a cependant été surprise par une question du journaliste. « Est-ce que Pravind Jugnauth est communal ? » Elle a tiqué. Car elle ne s’y attendait pas de la part du journaliste qui, visiblement, n’a pas écrit la question qui avait d’ailleurs pour but de défendre le chef du gouvernement. « Je suis mal à l’aise avec cette question. Vous pensez qu’il l’est ? Avez-vous des raisons de penser cela ? » a répliqué Sandra Mayotte. « Non, non, pas du tout », s’est presque excusé le journaliste. Ce qui a permis à Sandra Mayotte de réfléchir à une réponse. « Non, Pravind Jugnauth n’est pas communal. La preuve, c’est moi ! »
Pour ce qui est des autres sujets, Sandra Mayotte a déclaré qu’en entrant dans l’arène politique, elle a l’impression d’avoir été extirpée d’un monde de strass et paillette pour être jetée dans une nouvelle université. Mais pour elle, le plus important, c’est qu’elle aime les gens. « Je hug souvent les gens. Je peux m’asseoir avec les gens sur la plage », a-t-elle déclaré.
