C’est ce qu’a révélé un officier de commando de la National Coast Guard. Le capitaine indien Manu a expliqué que de 18h15 à 19h30, les gardes-côtes du poste de Pointe du Diable ont tenté à six reprises d’établir la communication avec le MV Wakashio. Mais, il y a eu aucune réponse.
C’est à 20h08 que le vraquier a répondu aux appels du poste de Blue Baie. Le capitaine Manu a aussi expliqué qu’en raison du mauvais temps, les navires de la National Coast Guard n’ont pu être utilisés après le naufrage.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles les gardes-côtes ne sont pas intervenus avant le naufrage, il a indiqué que plusieurs radars avaient détecté le Wakashio, mais que tant que le vraquier se trouvait sur le passage innocent, il n’y avait rien de suspicieux. C’est lorsqu’il commence à s’approcher de nos côtes qu’il y a eu tentatives d’établir la communication.
C’est à 20h08 que le vraquier a répondu aux appels du poste de Blue Baie. Le capitaine Manu a aussi expliqué qu’en raison du mauvais temps, les navires de la National Coast Guard n’ont pu être utilisés après le naufrage.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles les gardes-côtes ne sont pas intervenus avant le naufrage, il a indiqué que plusieurs radars avaient détecté le Wakashio, mais que tant que le vraquier se trouvait sur le passage innocent, il n’y avait rien de suspicieux. C’est lorsqu’il commence à s’approcher de nos côtes qu’il y a eu tentatives d’établir la communication.