Officiellement, les radios oeuvrent pour l’égalité et la méritocratie et tutti quanti. Officiellement, les médias oeuvrent contre l’injustice. Mais derrière le studio insonorisé, dans l’arrière-cuisine de ces Zorros des temps modernes, l’on trouve des pratiques pas très glorieuses, des plats peu ragoûtants et toutes sortes de combines.
C’est le cas de tous les médias. Mais intéressons-nous, pour le moment, au Defimedia Group, le no 1 des médias à Maurice. Il a suffi d’un post du groupe « Employés des Médias » pour mettre au jour une pratique honteuse, pratiquée par le Colonel et adoptée grâce à ses cours durant les vacances au fameux London School of Economics. Un détail qu’il n’omet jamais de dire. La culture c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale. Les diplômes aussi ! Mais passons !
Le groupe « Employés des médias » a posté un message pour dire qu’une quinzaine d’employés du groupe sont « sur le carreau, sans bonus et sans salaire pour le mois de décembre ». Et hier matin, le groupe s’est fendu d’un communiqué dans son journal pour dire qu’aucun de ses « employés » n’est concerné par cette mesure.
En fait, le Defimedia Group souligne qu’il n’a mis fin qu’au contrat de 15 prestataires de service le 30 novembre. Cela, conformément au contrat de ces fameux prestataires de service. Ce que le communiqué omet de dire, décidément les omissions sont légions, c’est que le groupe ne recrute que comme prestataires de service.
Ce qui lui évite de payer le boni de fin d’année, les autres bénéfices auxquels tout employé a droit et, en fait, il peut embaucher et licencier à sa guise. N’est-ce pas la situation rêvée pour une entreprise ? Car jusqu’ici, lorsqu’on pensait à prestataire de service, on pensait souvent à des compagnies. Mais grâce au Defimedia Group, le prestataire est presque un employé. Il est un peut le Airmate d’Air Mauritius. Ces prestataires de service doivent attendre un mois à la maison et prier que l’on refasse appel à leurs services. Mais que voulez-vous, les conditions d’emploi dans le secteur des médias n’est plus ce qu’elles étaient.
Il est vrai que l’on s’attaque au Defimedia Group car c’est dans l’actualité, mais les autres groupes de presse ou compagnies ne valent pas mieux. Certains sont des véritables esclavagistes avec leurs nouvelles vertus retrouvées. Mais nous y reviendrons. Promis !
C’est le cas de tous les médias. Mais intéressons-nous, pour le moment, au Defimedia Group, le no 1 des médias à Maurice. Il a suffi d’un post du groupe « Employés des Médias » pour mettre au jour une pratique honteuse, pratiquée par le Colonel et adoptée grâce à ses cours durant les vacances au fameux London School of Economics. Un détail qu’il n’omet jamais de dire. La culture c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale. Les diplômes aussi ! Mais passons !
Le groupe « Employés des médias » a posté un message pour dire qu’une quinzaine d’employés du groupe sont « sur le carreau, sans bonus et sans salaire pour le mois de décembre ». Et hier matin, le groupe s’est fendu d’un communiqué dans son journal pour dire qu’aucun de ses « employés » n’est concerné par cette mesure.
En fait, le Defimedia Group souligne qu’il n’a mis fin qu’au contrat de 15 prestataires de service le 30 novembre. Cela, conformément au contrat de ces fameux prestataires de service. Ce que le communiqué omet de dire, décidément les omissions sont légions, c’est que le groupe ne recrute que comme prestataires de service.
Ce qui lui évite de payer le boni de fin d’année, les autres bénéfices auxquels tout employé a droit et, en fait, il peut embaucher et licencier à sa guise. N’est-ce pas la situation rêvée pour une entreprise ? Car jusqu’ici, lorsqu’on pensait à prestataire de service, on pensait souvent à des compagnies. Mais grâce au Defimedia Group, le prestataire est presque un employé. Il est un peut le Airmate d’Air Mauritius. Ces prestataires de service doivent attendre un mois à la maison et prier que l’on refasse appel à leurs services. Mais que voulez-vous, les conditions d’emploi dans le secteur des médias n’est plus ce qu’elles étaient.
Il est vrai que l’on s’attaque au Defimedia Group car c’est dans l’actualité, mais les autres groupes de presse ou compagnies ne valent pas mieux. Certains sont des véritables esclavagistes avec leurs nouvelles vertus retrouvées. Mais nous y reviendrons. Promis !
