L’affaire est grave et mérite qu’on s’y attarde. C’est comme si la magistrate Bibi Azna Bholah avait aspergé l’Icac d’essence et gratté une allumette.
Jeudi, dans son ruling, dans lequel elle a rayé l’accusation contre Brijendrasingh Naeck, Principal Pharmacist du ministère de la Santé, elle a fait un véritable réquisitoire contre l’Icac dans l’enquête sur l’achat de Molnupiravir. La magistrate soutient qu’il y a eu tentatives de l’Icac « d’écarter certains protagonistes de l’enquêtye ». Parmi, Dalida Allagapen, ancien Senior Executive Officer et soeur du ministre Alan Ganoo.
Ce n’est pas quelqu’un de l’opposition qui dit cela. C’est une magistrate qui, en plus, s’est basée sur les réponses données par l’enquêteur de l’Icac. La magistrate Bholah souligne : « Je suis d'avis que l'ICAC en est au stade de Fishing Expedition sur la base d'un simple soupçon. D'après les faits et les circonstances présentés à cette cour, il est évident, du point de vue d'un spectateur objectif, que la participation du requérant n'est qu'un procès-verbal qui a été inséré en tant que pharmacien principal du ministère de la santé… qui s'est adressé à ses supérieurs pour leur demander de faire le nécessaire et de donner leur accord. L’enquêteur lui-même a admis dans son contre-interrogatoire que l’exercice d’achat aurait pu être interrompue comité d’évaluation, au deuxième niveau de vérification par le secrétaire permanent ou au troisième niveau de vérification par la Senior Chief Executive. »
Elle ajoute : « Je tiens aussi à préciser que les remarques faites par l’enquêteur au sujet des qualifications de l'ancien SCE du ministère et d’autres hauts fonctionnaires semblent être clairement une vaine tentative ultérieure de les déconnecter » de l’accusation provisoire actuelle ». La magistrate Azna Bholah explique, dans son jugement, que l’enquêteur a affirmé en cour qu’il y a des preuves documentaires que le premier courriel de CPN Distributors Limited a été envoyé à Dalida Allagapen. L’enquêteur a aussi révélé un autre courriel de la firme à la SCE le 26 novembre pour justifier le prix du médicament.
Jeudi, dans son ruling, dans lequel elle a rayé l’accusation contre Brijendrasingh Naeck, Principal Pharmacist du ministère de la Santé, elle a fait un véritable réquisitoire contre l’Icac dans l’enquête sur l’achat de Molnupiravir. La magistrate soutient qu’il y a eu tentatives de l’Icac « d’écarter certains protagonistes de l’enquêtye ». Parmi, Dalida Allagapen, ancien Senior Executive Officer et soeur du ministre Alan Ganoo.
Ce n’est pas quelqu’un de l’opposition qui dit cela. C’est une magistrate qui, en plus, s’est basée sur les réponses données par l’enquêteur de l’Icac. La magistrate Bholah souligne : « Je suis d'avis que l'ICAC en est au stade de Fishing Expedition sur la base d'un simple soupçon. D'après les faits et les circonstances présentés à cette cour, il est évident, du point de vue d'un spectateur objectif, que la participation du requérant n'est qu'un procès-verbal qui a été inséré en tant que pharmacien principal du ministère de la santé… qui s'est adressé à ses supérieurs pour leur demander de faire le nécessaire et de donner leur accord. L’enquêteur lui-même a admis dans son contre-interrogatoire que l’exercice d’achat aurait pu être interrompue comité d’évaluation, au deuxième niveau de vérification par le secrétaire permanent ou au troisième niveau de vérification par la Senior Chief Executive. »
Elle ajoute : « Je tiens aussi à préciser que les remarques faites par l’enquêteur au sujet des qualifications de l'ancien SCE du ministère et d’autres hauts fonctionnaires semblent être clairement une vaine tentative ultérieure de les déconnecter » de l’accusation provisoire actuelle ». La magistrate Azna Bholah explique, dans son jugement, que l’enquêteur a affirmé en cour qu’il y a des preuves documentaires que le premier courriel de CPN Distributors Limited a été envoyé à Dalida Allagapen. L’enquêteur a aussi révélé un autre courriel de la firme à la SCE le 26 novembre pour justifier le prix du médicament.
