Comme toutes les directives, elle porte un numéro et une date. Ici, c’est la directive n° 60 du 30 novembre. Ses dispositions, qui sont entrées en vigueur ce jour-là, ont trait à la procédure d’approvisionnement en urgence.
Et devinez quoi ! Le Senior Chief Executive d’un ministère a les pleins pouvoirs en ce concerne les achats en urgence. C’est une disposition sur laquelle Dalida Allagapen joue devant l’Icac et Kailesh Jagutpal devant les journalistes.
Elle est bien faite la vie ! Car en fin de compte, la directive stipule que dans le cas de l’allocation d’un contrat en urgence, le responsable du ministère, soit le Senior Chief Executive, doit évaluer le pour et le contre et décider de la manière d’obtenir un bon rapport qualité-prix.
Elle peut aussi décider de la façon de faire, de faire jouer la concurrence, d’étendre ou de modifier un contrat existant, d’avoir recours à des négociations concurrentielles ou, dans un cas extrême, d’allouer un contrat directement. Alors, si l’on peut, dans un premier cas de figure, penser à quelque chose de négatif pour Dalida Allagapen. Mais, cela pourrait bien jouer en sa faveur. Car, dans le pire des cas, on pourrait penser à une erreur de jugement. Ses bénéfices de retraite étant assurés, alors qu’on dise qu’elle est incompétente ou pas, qu’est-ce que cela change ? Qu’on pense qu’elle soit corrompue ou pas, qu’est-ce que cela change pour elle ?
Et devinez quoi ! Le Senior Chief Executive d’un ministère a les pleins pouvoirs en ce concerne les achats en urgence. C’est une disposition sur laquelle Dalida Allagapen joue devant l’Icac et Kailesh Jagutpal devant les journalistes.
Elle est bien faite la vie ! Car en fin de compte, la directive stipule que dans le cas de l’allocation d’un contrat en urgence, le responsable du ministère, soit le Senior Chief Executive, doit évaluer le pour et le contre et décider de la manière d’obtenir un bon rapport qualité-prix.
Elle peut aussi décider de la façon de faire, de faire jouer la concurrence, d’étendre ou de modifier un contrat existant, d’avoir recours à des négociations concurrentielles ou, dans un cas extrême, d’allouer un contrat directement. Alors, si l’on peut, dans un premier cas de figure, penser à quelque chose de négatif pour Dalida Allagapen. Mais, cela pourrait bien jouer en sa faveur. Car, dans le pire des cas, on pourrait penser à une erreur de jugement. Ses bénéfices de retraite étant assurés, alors qu’on dise qu’elle est incompétente ou pas, qu’est-ce que cela change ? Qu’on pense qu’elle soit corrompue ou pas, qu’est-ce que cela change pour elle ?