"CRANE, Walter (1845-1915). “Don Quixote of the Mancha” retold by Edward Abbott Parry, 1919." by Halloween HJB is marked with CC0 1.0.
Le comportement du cocu se traduit par une intense détresse émotionnelle, un renfermement sur soi, une frustration de sentir incapable d’être à la hauteur des plaisirs charnels, une haine des autres et une envie souvent non-dissimulée d’être « cocuficateur » à son tour. Par dessus tout, le cocu vit dans une telle honte qu’il fait tout pour ne pas se faire remarquer.
Mais que dis-je? Ce sont là des choses du passé! A l’ère où l’on s’expose goulûment matin et soir - réseaux sociaux y contribuant, où toutes les inhibitions ont sauté les unes après les autres, où, au nom de la tolérance réinventée, toutes les « mochetés » et les médiocrités sont bonnes à être étalées en public, voici venu le temps des Cocus Magnifiques !
Fini donc la honte et l’envie de se terrer. Fini le besoin de raser les murs et de faire en sorte de ne pas révéler son état. De nos jours, le cocu n’accepte plus sa condition de gallinacé déplumé. Il se farde tel un baroque, se met fièrement en scène, s’affiche sur la scène publique et comme tous les insensés de sa fratrie, il fait son catharsis en se défoulant sur les autres.
Pour certains, l’extase que procure cet état les rend inconscients au point où tel Don Quichotte, ils vont ferrailler contre des moulins à vent ou encore ils vont se gausser des prouesses coquines des autres au point de ne pas se rendre compte qu’ils étalent ainsi leurs misères affectifs. Ainsi dans le lieu dit de temple sacré de la démocratie mais en vérité une porcherie présidée par un authentique porc, il nous a été donné de voir un Cocu Magnifique à l’oeuvre de surcroit avec une armée de supporters qui tels des marins après une mission de longue durée en mer, ont étalé leurs ricanements lubriques au grand jour.
Il faut les comprendre. Pour des crèves-la-faim traversant un désert affectif, toute satisfaction, aussi petite soit-elle, est bonne à prendre. Le gueux ne choisit pas.
Devrait-on s’en contenter? Non ! Que faire? D’abord éviter de se laisser entrainer dans la porcherie qui menace de s’étendre à tout le pays et ensuite rappeler au Cocu Magnifique et ses acolytes que, même s’il s’agit de se stimuler artificiellement pour pouvoir le faire, « Cocu qui rit ne vaut pas Homme qui jouit ».
Mais que dis-je? Ce sont là des choses du passé! A l’ère où l’on s’expose goulûment matin et soir - réseaux sociaux y contribuant, où toutes les inhibitions ont sauté les unes après les autres, où, au nom de la tolérance réinventée, toutes les « mochetés » et les médiocrités sont bonnes à être étalées en public, voici venu le temps des Cocus Magnifiques !
Fini donc la honte et l’envie de se terrer. Fini le besoin de raser les murs et de faire en sorte de ne pas révéler son état. De nos jours, le cocu n’accepte plus sa condition de gallinacé déplumé. Il se farde tel un baroque, se met fièrement en scène, s’affiche sur la scène publique et comme tous les insensés de sa fratrie, il fait son catharsis en se défoulant sur les autres.
Pour certains, l’extase que procure cet état les rend inconscients au point où tel Don Quichotte, ils vont ferrailler contre des moulins à vent ou encore ils vont se gausser des prouesses coquines des autres au point de ne pas se rendre compte qu’ils étalent ainsi leurs misères affectifs. Ainsi dans le lieu dit de temple sacré de la démocratie mais en vérité une porcherie présidée par un authentique porc, il nous a été donné de voir un Cocu Magnifique à l’oeuvre de surcroit avec une armée de supporters qui tels des marins après une mission de longue durée en mer, ont étalé leurs ricanements lubriques au grand jour.
Il faut les comprendre. Pour des crèves-la-faim traversant un désert affectif, toute satisfaction, aussi petite soit-elle, est bonne à prendre. Le gueux ne choisit pas.
Devrait-on s’en contenter? Non ! Que faire? D’abord éviter de se laisser entrainer dans la porcherie qui menace de s’étendre à tout le pays et ensuite rappeler au Cocu Magnifique et ses acolytes que, même s’il s’agit de se stimuler artificiellement pour pouvoir le faire, « Cocu qui rit ne vaut pas Homme qui jouit ».
