Le directeur du Government Information Service a soumis sa démission. Oui, Rama Krishna Veeramundar s’en va avec un mois de préavis à partir du 2 mai. Sa lettre est adressée au secrétaire du Cabinet et chef de la fonction publique, Nayen Koomar Ballah. Où va-t-il atterrir ? Certains estiment que la piste d’atterrissage n’est pas très loin et d’autres estiment que c’est le coup de grâce.
Rappelons que Rudy Veeramundar a occupé un poste, depuis 2020, qu’il n’aurait pas dû, après avoir fait toutes sortes de misères à son prédécesseur. Mais depuis, tout n’a pas été rose pour lui. Il a fait aménager une coterie au Government Information Service, avec beaucoup partageant un dénominateur commun. Il a commencé plein de choses. Mais comme toujours avec Rudy Veeramundar, il n’en a complété aucun. N’empêche que, le ridicule ne tuant pas, il évoque « des progrès et des innovations » durant son passage marqué par deux confinements et une révision à la baisse du budget de l’organisme. Mais mieux, il affirme pince-sans-rire que le GIS « a désormais une identité, une visibilité et une mission, qui est celle d’informer tout en demeurant factuel ».
Rappelons que Rudy Veeramundar a commencé avec l’Alliance Lepep comme conseiller en communication de Pravind Jugnauth, avant de passer au bureau du Premier ministre et de devenir directeur du GIS en marchant sur bien des cadavres. Bon vent quand même !
Rappelons que Rudy Veeramundar a occupé un poste, depuis 2020, qu’il n’aurait pas dû, après avoir fait toutes sortes de misères à son prédécesseur. Mais depuis, tout n’a pas été rose pour lui. Il a fait aménager une coterie au Government Information Service, avec beaucoup partageant un dénominateur commun. Il a commencé plein de choses. Mais comme toujours avec Rudy Veeramundar, il n’en a complété aucun. N’empêche que, le ridicule ne tuant pas, il évoque « des progrès et des innovations » durant son passage marqué par deux confinements et une révision à la baisse du budget de l’organisme. Mais mieux, il affirme pince-sans-rire que le GIS « a désormais une identité, une visibilité et une mission, qui est celle d’informer tout en demeurant factuel ».
Rappelons que Rudy Veeramundar a commencé avec l’Alliance Lepep comme conseiller en communication de Pravind Jugnauth, avant de passer au bureau du Premier ministre et de devenir directeur du GIS en marchant sur bien des cadavres. Bon vent quand même !
