Il a ajouté que la décision du DPP peut être contestée par le biais d’une révision judiciaire. « C’est ce que le Privy Council a indiqué dans l’affaire DPP contre Mohit. Donc, nous allons étudier cette voie », a-t-il indiqué. Mais Roshi Bhadain s’est surtout offusqué du fait que le suspect « n’était pas en cour ». Il a aussi déploré le fait que l’affaire n’a même pas été écoutée.
Me Domingue évoque l’affaire Mohit
La contestation de la décision du DPP dans l’affaire de la Private Prosecution intentée par Suren Dayal contre Pravind Jugnauth prend forme. Vendredi après-midi, après la radiation de l’affaire devant le tribunal de dictrict de Port-Louis, Me Antoine Domingue, qui est le leading counsel du panel d’avocats de Suren Dayal, a évoqué à plusieurs reprises le cas Mohit versus DPP. « Dans l’affaire Mohit, il y a eu arrêt des procédures à au moins 4 reprises. Le Privy Council a déclaré que la décision du DPP peut être contestée. C’est encore plus le cas actuellement étant donné que la raison invoquée paraît très contestable en droit. Surtout que la cour suprême n’a pas donné émis d’ordre à ce sujet », a-t-il déclaré. Rappelons que c’est la magistrate Azna Bholah qui présidait l’affaire. Me Razia Janoo-Jaunboccus, adjointe du DPP, a comme convenu prononcé un non-lieu.
La contestation de la décision du DPP dans l’affaire de la Private Prosecution intentée par Suren Dayal contre Pravind Jugnauth prend forme. Vendredi après-midi, après la radiation de l’affaire devant le tribunal de dictrict de Port-Louis, Me Antoine Domingue, qui est le leading counsel du panel d’avocats de Suren Dayal, a évoqué à plusieurs reprises le cas Mohit versus DPP. « Dans l’affaire Mohit, il y a eu arrêt des procédures à au moins 4 reprises. Le Privy Council a déclaré que la décision du DPP peut être contestée. C’est encore plus le cas actuellement étant donné que la raison invoquée paraît très contestable en droit. Surtout que la cour suprême n’a pas donné émis d’ordre à ce sujet », a-t-il déclaré. Rappelons que c’est la magistrate Azna Bholah qui présidait l’affaire. Me Razia Janoo-Jaunboccus, adjointe du DPP, a comme convenu prononcé un non-lieu.
