On ne peut pas dire que l’ancien conseiller de Pravind Jugnauth soit un grand ami de l’actuel gouvernement.
Celui qui ne s’exprime que sur Facebook a posté un nouveau message pour envoyer une petite pique à son ancien patron et ex-amis et se rappeler à leur bon souvenir. « La Banque de Maurice doit pouvoir démontrer son indépendance », affirme Gérard Sanspeur. Il se demande si le régime compte enfin agir étant donné que le pays figure sur la liste noire des centres financiers de la Commission européenne.
Gérard Sanspeur, le spécialiste en fiasco, donne sa recette pour sauver Air Mauriitus
Cette fameuse liste a été publiée jeudi. Et d’enfoncer le clou en évoquant l’indépendance de la Banque de Maurice qui ne devrait pas être aux ordres du gouvernement ou du ministère des Finances. Mais sur la question d’indépendance, il est à se demander c e que faisait l’ami Sanspeur et sans reproches durant le mandat 2014-2019 où il était aux affaires lui-aussi. Et de souligner, avec raison diront certains, que la nomination de Harvesh Seegoolam à la tête de la Banque centrale n’est pas gage d’indépendance et ne démontre pas clairement la volonté d’un régulateur qui va imposer « des règles robustes pour combattre le blanchiment d'argent».
C’est bien que Sanspeur parle. Mais c’est étonnant tout de même que les grandes gueules l’ouvrent toujours après un bon coup au derrière.
Celui qui ne s’exprime que sur Facebook a posté un nouveau message pour envoyer une petite pique à son ancien patron et ex-amis et se rappeler à leur bon souvenir. « La Banque de Maurice doit pouvoir démontrer son indépendance », affirme Gérard Sanspeur. Il se demande si le régime compte enfin agir étant donné que le pays figure sur la liste noire des centres financiers de la Commission européenne.
Gérard Sanspeur, le spécialiste en fiasco, donne sa recette pour sauver Air Mauriitus
Cette fameuse liste a été publiée jeudi. Et d’enfoncer le clou en évoquant l’indépendance de la Banque de Maurice qui ne devrait pas être aux ordres du gouvernement ou du ministère des Finances. Mais sur la question d’indépendance, il est à se demander c e que faisait l’ami Sanspeur et sans reproches durant le mandat 2014-2019 où il était aux affaires lui-aussi. Et de souligner, avec raison diront certains, que la nomination de Harvesh Seegoolam à la tête de la Banque centrale n’est pas gage d’indépendance et ne démontre pas clairement la volonté d’un régulateur qui va imposer « des règles robustes pour combattre le blanchiment d'argent».
C’est bien que Sanspeur parle. Mais c’est étonnant tout de même que les grandes gueules l’ouvrent toujours après un bon coup au derrière.
