Le Premier ministre dans son allocution à la nation vendredi a indiqué que le gouvernement travaille d’arrache-pied sur un plan de déconfinement.
Après deux semaine d'absence médiatique, le chef du gouvernement est apparu dans une posture qui a mis tout le monde très mal à l'aise.
Si il précisé quelques mesures comme le port du masque dans les lieux publics et que les rassemblements publics seront interdits. Il a aussi indiqué que l’ordre alphabétique sera toujours en vigueur dans les supermarchés. Les boulangeries pourront opérer de nouveau mais sous certaines conditions.
Pour Pravind Jugnauth, les travaux de l’Assemblée nationale reprendront avec “tous les parlementaires”, sans toutefois officialisée une date.
Un discours éclair, décousu proche de l'absurde pour un chef du gouvernement
Le Premier ministre a aussi évoqué la mise sous administration volontaire d’Air Mauritius. Il s’est dit triste de cette situation, mais a souligné que c’était « l’unique solution d’empêcher que la compagnie d’aviation nationale n’aille vers la faillite ». Il affirme aussi qu’il a cœur l’intérêt d’Air Mauritius et de ses employés.
Des platitudes qui interpellent alors que le pays traverse l'une des plus grosses crises économiques de son histoire.
Après deux semaine d'absence médiatique, le chef du gouvernement est apparu dans une posture qui a mis tout le monde très mal à l'aise.
Si il précisé quelques mesures comme le port du masque dans les lieux publics et que les rassemblements publics seront interdits. Il a aussi indiqué que l’ordre alphabétique sera toujours en vigueur dans les supermarchés. Les boulangeries pourront opérer de nouveau mais sous certaines conditions.
Pour Pravind Jugnauth, les travaux de l’Assemblée nationale reprendront avec “tous les parlementaires”, sans toutefois officialisée une date.
Un discours éclair, décousu proche de l'absurde pour un chef du gouvernement
Le Premier ministre a aussi évoqué la mise sous administration volontaire d’Air Mauritius. Il s’est dit triste de cette situation, mais a souligné que c’était « l’unique solution d’empêcher que la compagnie d’aviation nationale n’aille vers la faillite ». Il affirme aussi qu’il a cœur l’intérêt d’Air Mauritius et de ses employés.
Des platitudes qui interpellent alors que le pays traverse l'une des plus grosses crises économiques de son histoire.